L'acteur que j'aimais || LARRY

97. Genoux-mains 🍋

Note de l'autrice : attention il s'agit du 2e chapitre publié ce jour. Ne passez pas à coté du 96 et de L&H dans la piscine :)

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- Y'en a une là ! je lâche en m'emparant d'une serviette de bain Spiderman et en la nouant autour de ma taille.

- Y'en a plusieurs ici ! répond Louis en en mettant une sur ses épaules et en apportant les autres près de moi.

Je l'entends faire "Brrrr" alors je m'approche de lui.

- J'ai froid... il dit juste et je frictionne son dos et ses bras pour le réchauffer.

- Mieux ?

- Mieux, il sourit mais il reste blotti contre moi et j'en profite un max.

Quand je repense à la journée qu'on a passée, ça me semble irréel de l'avoir là, tout contre moi.

- Qu'est-ce que tu veux faire maintenant ? je lui demande, en embrassant sa tempe.

Il est peut-être fatigué ou il estime peut-être qu'il est resté dehors trop longtemps. Je lui offre une porte de sortie.

- Je veux que tu me fasses l'amour, Harry, il répond sans ciller et je souris parce que c'est exactement ce que je veux aussi.

- Ne bouge pas ! je lui lance et je m'affaire.

J'attrape plusieurs serviettes et je les dispose dans l'herbe un peu plus loin pour nous faire un matelas. Puis je reviens le chercher et je l'attrape derrière les cuisses pour le faire grimper sur moi. Sa serviette tombe au sol et on la laisse derrière nous tandis que je le porte jusqu'à notre lit improvisé.

Je le couche là et, rapidement, je me trouve allongé au-dessus de lui. Mes mains sont avides de le toucher, de le caresser, de le posséder. Les siennes ont pris possession de mon cul et malaxent mes fesses par dessus ma serviette.

C'est comme si mes lèvres le redécouvraient et je prends mon temps. Sa peau sent légèrement le chlore mais elle reste aussi douce que dans mes souvenirs. Louis se tortille sous mes lentes et délicates caresses.

Je suis parti pour lui faire des préliminaires pendant des heures mais subitement, le châtain redresse sa tête et attrape mon visage, me forçant à stopper la douce fellation que je venais de commencer.

Je lève la tête vers lui et j'attends qu'il parle, ses mains sur mes deux joues.

- Bébé, j'adore tout ce que tu me fais vraiment, c'est génial et t'auras les 70 prochaines années pour prendre ton temps et faire tout ça mais-mais je t'ai menti tout à l'heure...

Quoi encore ?

Il me voit froncer les sourcils alors il se dépêche d'expliquer.

- Un tout petit mensonge trésor... Il mime le geste avec sa main, approchant son index de son pouce. Voilà, je-je ne veux pas que tu me fasses l'amour. Je veux que tu me baises.

Oh ! Okay, c'est juste ça ! Doux Jésus.

- Je veux te sentir en moi. Maintenant. Je veux que tu te serves de ta jolie queue et que tu me pilonnes comme tu sais si bien le faire. Tu peux, faire ça pour moi ? Me baiser si parfaitement bien que je vais en oublier comment je m'appelle ?

Je le regarde avec un petit sourire. Louis se fait chier depuis des mois au lit. Et là, il me supplie de le faire grimper aux rideaux.

Cet homme a besoin de moi bon sang !

Et moi est-ce que je me sens à la hauteur ? Oh bordel oui ! Je n'attends que ça. Je suis né pour le faire hurler de plaisir.

Passage en revue des troupes :