Nouveauté 2 : Morsure d'amour

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Et une autre histoire à laquelle je songe. Là pour le coup, une histoire omegaverse, plutôt coquine. Âmes sensibles s'abstenir !

Où Harry s'imprègne d'un omega (Lou of course) alors que ce dernier ne peut et ne veut pas.

Je vous présente le 1er chapitre. Lui aussi pourra être modifié d'ici le début de la publication. Mais si cela vous plait, vous retrouverez l'histoire sous le nom de "Morsure d'amour".

Mise à jour 26/04  : l'histoire s'appelle en fait "Mords-moi" !

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- C'est quoi cette odeur de dingue ?

20 minutes qu'elle vient me titiller les narines. 10 minutes qu'elle est venue paralyser mon cerveau et prendre en otage tous mes sens. 5 minutes que je ne pense plus qu'à ça.

Je n'arrive même plus à me concentrer sur le roman que je dois lire pour mon cours de littérature américaine.

Je suis en master 1, l'année scolaire vient de commencer et putain je n'ai pas le droit de me foirer. Mais là, je n'arrive plus à rien.

Pourtant ce roman est super. Indian Creek de Pete Froom, c'est une ôde à la liberté et un voyage dans l'ouest américain. C'est le genre de livres que je peux dévorer en une soirée. Mais pas ce soir.

Les effluves sucrées ont pris possession de mon cerveau.

Mes yeux lisent et relisent depuis 10 minutes la même phrase.

"Je m'apprêtais à rejoindre la civilisation, et pour la première fois ou presque, je ne portais pas d'arme".

Mais c'est comme si mon cerveau refusais de l'imprimer et que je n'arrivais pas à passer à la suivante.

Putain, c'est pas possible. Je suis en train de louper la plus grosse fête de septembre sur le campus, justement parce que je dois lire ce foutu bouquin au risque d'avoir un zéro pointé à l'exam de demain matin, et voilà que je n'arrive plus à bosser.

De rage, je recule ma chaise et sort pour savoir ce qu'il se passe.

Le couloir de la résidence est désert à cette heure-ci. Le jeudi soir, tous les étudiants sont dehors en train de faire la fête.

Là où je devrais être. Là où je suis censé rejoindre Niall et Zayn lorsque j'aurai fini de bosser.

La lumière du couloir s'est allumée alors que je commence à le remonter. Et tandis que je marche, je sens un poids grandir dans mon bas-ventre.

Ça vient de là. L'odeur si alléchante émane de la chambre 28, qui se trouve un peu plus loin que la mienne.

Je pose mes deux paumes de main sur le bois de la porte, suivies de mon front, mes longues boucles retombant devant mon visage. Je ferme les yeux, complètement enivré par l'odeur.

J'en suis maintenant sûr et certain : derrière cette porte, il y a une oméga en chaleur.

Et je suis sûr d'autre chose : il faut que je rentre dans cette chambre.

Je le désire ardemment.

J'ai l'habitude d'obtenir ce que je veux.

Et ce que je veux, là, maintenant, c'est m'occuper d'elle, la couvrir de caresses et apaiser son désir.

Les omégas ont besoin d'un alpha dans ces moments-là.

Oh, ça tombe bien, je suis un putain d'alpha.

Un bruit me tire alors de mes rêveries. Une autre chambre vient de s'ouvrir. Celle-ci, je sais qui l'occupe.

Je reconnais la silhouette de John, le capitaine de mon équipe de handball.

L'acteur que j'aimais || LARRY Où les histoires vivent. Découvrez maintenant