Depuis qu'elle le connaît, Lauren Sintès est secrètement amoureuse du meilleur ami de son frère. Pour elle, Kylian Mbappé représente tout ce qu'elle aime chez un homme. Il est sexy, plein de charme... mais totalement inaccessible. Aux yeux de ce séd...
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- Princesse, qu'est-ce que tu fous ? l'appelé-je depuis la chambre.
- J'arrive. Trente secondes, l'entends-je.
Je me dirige vers la salle de bain, et au moment où je vais pour entrer, Lauren en sort et me fonce dedans.
- Regarde où tu vas, beauté, lui dis-je.
Lentement, très lentement, mes yeux remontent le long de ses jambes nues magnifiques, puis reluquent ces courbes que je ne connais que trop bien, emprisonnées dans une superbe robe rouge de danseuse à fines bretelles et chaussée de sandales argentées à très hauts talons. La jupe évasée qui lui frôle les genoux semble valser à chacun de ses pas tandis que le corsage parfaitement ajusté à son buste étroit dévoile avec pudeur la rondeur de ses seins. En prime, les talons aiguilles qu'elle porte, galbent ses mollets. Je la fixe une poignée de secondes, mon regard prend son temps, la détaille, se délectant de l'éclat sublime de son visage, de ses yeux extraordinaires. C'est fou à quel point elle est belle et sexy, à quel point elle me fait bander. Je suis vraiment un putain de chanceux d'avoir une femme comme Lauren dans ma vie. Elle est d'une beauté que j'en ai des frissons. Habillée de la sorte, elle a l'air d'une danseuse de salsa. Une danseuse de salsa diablement excitante.
Tu es le diable en personne, Lauren Sintès.
Ses cheveux blonds ont été relevés à la va-vite dans un chignon approximatif dévoilant sa jolie nuque gracile. Quant à ses yeux, déjà incroyables au naturel, ils ont été légèrement maquillés.
- La vue te plaît ?
Si ça me plait ? C'est littéralement un paradis sur Terre.
Mon paradis que je m'empresse d'aller embrasser. Ma bouche se pose sur la sienne avec douceur. Ma main attrape le bas de son visage pour davantage approfondir le baiser tandis que ma langue affamée vient chercher la sienne avec une dextérité empreinte de désir.
J'ai tellement, tellement envie d'elle. Je tire alors sur sa main, mais elle n'en est pas du même avis.
- Non, on va manger au restaurant avant.
- Tu perds la tête, mon amour. On est déjà allés au restaurant, on en revient là.
Elle glousse et finit par m'asséner une pichenette sur mon torse recouvert d'une chemise blanche par dessus laquelle j'ai revêtu une veste de costume, accordée au pantalon, tous deux noirs.
- Tu as vraiment enfilé un costume ?
- Pour la demoiselle.
- Tu es très beau, dit-elle contre mes lèvres.
- Je vais faire des jaloux ce soir, avec toi à mon bras.
Elle sourit encore contre moi, puis on finit par se séparer complètement. Elle s'est parfumée, et si j'en juge les petits pigments d'or qui parsèment la peau de ses bras et de son décolleté, elle s'est également tartiné le corps de cette fameuse huile merveilleuse qui sent bon le monoï.
