Depuis qu'elle le connaît, Lauren Sintès est secrètement amoureuse du meilleur ami de son frère. Pour elle, Kylian Mbappé représente tout ce qu'elle aime chez un homme. Il est sexy, plein de charme... mais totalement inaccessible. Aux yeux de ce séd...
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Un an plus tard, Monaco.
- Oh oui, putain, oui !
- Shhh...
Sa grande main se plaque sur ma bouche tandis que, les jambes tremblantes, je redescends lentement sur sa queue, jusqu'à ce que mes fesses butent contre ses cuisses. Frustrée de ne pouvoir m'exprimer, je lui mordille doucement la paume, ce qui lui arrache un petit rire tout bas. La lueur furieusement lubrique de son regard m'électrise de la tête aux pieds alors qu'il empoigne mes cheveux, les enroulant autour de ses phalanges, pour m'obliger à le regarder dans les yeux. Les sens en feu et les abdominaux contractés, je me soumets tout en remontant jusqu'au sommet de son gland, éprouvant, nervure par nervure, chaque relief de son sexe avant de me laisser retomber jusqu'à sa base en soupirant d'extase.
En vérité, je me suis réveillée dans ses bras avec l'envie de lui et rien n'aurait pu m'en détourner, pas même ses réticences adorables à l'idée de faire ça sous le toit de mes parents. « Rapide et silencieux », telles étaient ses conditions pour me laisser lui monter dessus dans ma chambre de jeune fille, à deux pas de celle de Loïc et Émilie. Sauf que baiser en silence avec Kylian Mbappé est pratiquement mission impossible. Je n'ai pourtant jamais été très vocale au lit, mais ce qu'aucun homme n'a jamais réussi à me faire ressentir, lui y parvient sans la moindre difficulté.
Assis sur le sol et adossé au sommier - notamment pour éviter de faire grincer le lit -, ce dernier me regarde me balancer d'avant en arrière, les mains accrochées à son cou et les genoux plantés dans la moquette. Concentrée sur mes va-et-vient, je l'observe également entre mes paupières mi-closes, le souffle court. Il est douloureusement torride ce matin, avec sa bouche entrouverte et ce regard... si chaud, si intense.
Mon Dieu, qu'est-ce que je peux l'aimer !
La mâchoire contractée, je vois qu'il se retient, se contient, se mord la langue pour ne pas grogner, et moi, je ne peux m'empêcher de gémir, excitée comme une folle, les parois de mon sexe se resserrant un peu plus sur le sien. Il est tellement sexy, viril. Je le sens partout. Sa verge est plus dure que jamais, douce et massive à la fois, gorgée d'énergie. Je n'ai jamais connu de mec aussi bien monté que lui et n'ai jamais autant vénéré un sexe masculin. Il m'a définitivement ruinée pour tous les autres... si tant est qu'il y en ait d'autres un jour !
Nos corps enlacés, arrimés l'un à l'autre, ne font qu'un et contrairement à d'habitude, je ne vais pas lentement, ne prends pas mon temps. Je le monte comme un hussard, le baise comme un homme, les yeux dans les yeux, bouche contre bouche, tout en inondant ses testicules de cyprine. Je me sens ivre, malicieuse et impulsive. C'est un accouplement primitif, bestial. Nous sommes comme deux animaux sauvages en rut, tiraillés par le besoin de soulager une pulsion primaire.
- Si tu ne ralentis pas, je vais jouir, halète-t-il tout en plongeant son nez dans mon cou pour étouffer ses propres râles.
L'urgence et le péril de la situation m'exaltent. Je suis déchirée entre l'envie de faire durer les choses et celle d'en finir au plus vite pour éviter d'informer l'intégralité de la maison que nous sommes en train de nous envoyer en l'air.
