11-lettre

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Pdv Ivyna

La totalité des affaires posées sur le bureau d'Ezyo sont projetées sur le sol.

Son aura est massacrante on dirait qu'il est prêt à exploser.

Mon grand frère relève la tête vers moi:

- Tu l'aimes toujours ? Demande t il

- Je ne l'ai jamais aimé même pas un peu je réponds sans hésitation.

L'attention de tous se braque de nouveau sur moi

- Pourquoi tu es sorti avec lui alors ? Demande Eliot qui était jusqu'à la rester silencieux

- Je n'ai pas eu le choix

- Comment ça ? Dit mon père le visage rongeait par la colère

- Maman l'a choisi à ma place ... Elle voulait que j'ai un copain à tous pris, je réponds

- Votre relation à pris fin quand ? Demande mon jumeau

- Quand j'ai déménagé pour rejoindre Orion. Avant la mort de maman je ne pouvais pas le quitter sinon....

Je laisse la fin de ma phrase en suspens

Ezyo relève la tête dans ma direction :

- Sinon quoi?

Je ne réponds rien et baisse la tête

- Dit le ! crie t il d'une voix puissante qui me fait sursauter

- Ils m'auraient tué tous les deux....

Mon père blêmit à l'entente de mes paroles.

- Oh mon bébé... Dit mon père en s'approchant de moi et se jetant à mes pieds le visage plein de larmes. Tu peux tous me dire plus personne ne te fera du mal....

Mon grand frère prend la parole:

- J'ai conscience que c'est extrêmement difficile pour toi princesse mais on a besoin de savoir ce qu'il t'ai arrivé, il prend une grande inspiration. Tu veux nous raconter comment se passer ta vie avec lui et maman s'il te plaît ?

Son inquiétude déforme son visage parfait.

Même si j'aurais voulu garder sa pour moi ils ont le droit de savoir après tous il s'agit de leur mère aussi.

- Je... D'accord mais s'il vous plaît attendez que j'ai fini pour réagir, dis je la voix tremblante

Flashback

8ans plus tôt Ivyna

Je rentre du lycée comme à mon habitude.

Une fois à l'intérieur de la maison je retire mes chaussures et les portes pour aller les rangé immédiatement dans mon meuble à chaussures.

Ma mère ne veut qu'aucune de mes affaires se trouvent hors de ma chambre comme ça elle peut faire comme si elle n'avait pas d'enfant.

Je monte les escaliers en direction de ma chambre.

En ouvrant la porte, le vent frais qui s'échappe de ma chambre me fait frissonner.

La fenêtre est grande ouverte portant je suis persuadé de ne pas l'avoir ouverte.

Sans question supplémentaire je m'avance vers la fenêtre et la referme

Une fois mes chaussures rangait dans le meuble, je dépose mon sac sur ma chaise de bureau.

the bloodline (en réecriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant