the bloodline (en réecriture)

25- Aaron

Pdv Ezyo

Le bonheur est un fin file tendu avec lequel on joue toute notre vie près de la lame bien aiguisée.
Mais lorsque le bonheur disparaît en un claquement de toi que nous reste t il?
L'espoir et rien, l'espoir d'une vie meilleure du seconde chance, de revoir nos proches en vie mais parfois cet espoir meurt en même temps qu'on s'éteint....

Dès que j'ai entendu l'explosion j'ai immédiatement sauté du lit pour attraper mon Glock et mon couteau que je place dans la poche.

Je parcours le couloir le plus discrètement possible quand ma famille se décide enfin à sortir de leurs chambres tous armés.

Je passe devant suivis par Eliot puis Layla et Jayden ferme la marche.
Lors des missions on a toujours adopté cette confirmation pour protéger Layla et Eliot qui sont un peu plus faibles et donc des cibles plus facilement atteignables.

Dans les marches qui mènent au rez de chaussée des voix masculines se font entendre:

- No quiero supervivientes, excepto Ezyo y mi muñequita, ¡los quiero vivos! ¡Vamos! Dit une voie que je reconnaîtrais entre mille.

On le connait tous ce connard.

Carlos Alcaraz parrain de la mafia mexicaine à qui on a refusé tous contrats.

Cet homme est une abomination aucune qualité ne peut le décrire il est juste cruel et sans cœur.

Femme enfant tous y passe avec lui.

Ne pouvant plus attendre on décide d'aller directement face à l'ennemi.

Après avoir chacun repérer nos cibles respectives, on y va.

Glock dans une main couteau dans l'autre je fais un massacre.

Le sang coule à flot les corps tombent lourdement au sol.

Ces hommes sont des cibles corriasse ancien membre des forces spéciales se sont de vrais machines de guerres.

Je jette un coup d'œil par dessus mon épaule et voit Layla se battre parfaitement face à 3hommes.

De l'autre côté Eliot fait de même.

Face à moi Jayden se bat avec une dizaine d'homme.

Carlos le sait pour parvenir à ses fins il doit d'abord sans prendre à Jayden et moi, sans ça il ne touchera pas à un seul cheveux d'Ivyna.

Je suis tellement content qu'elle ne soit pas descendu en même temps que nous j'ai immédiatement posté dix gardes devant sa porte pour lui assurer une sécurité maximale.

Malgré nos entraînements quotidien on se prend quand même des coups mais c'est pas grave tant qu'on est par on se doit de continuer.

Notre religion à toujours était un moteur dans notre vie et notre métier. Quand je devrais mourir je veux que se soit au combat et pas autrement.

Le combat dur une éternité vêtu simplement d'un bas de jogging j'encaisse moins bien les coups dans l'abdomen.

On continue ainsi jusqu'à ce qui en reste plus qu'un.

Carlos.

J'ordonne au reste du groupe de monté protèger Ivy et ils le font sans hésiter.

En une seule petite semaine elle a prit une importance particulière dans nos cœurs, une seconde petite sœur qui cette fois on va réussir à sauver.

PDV Ivyna

Il empoigne mes cheveux en les tirant de toutes ses forces pour m'obliger à me relever.