T.2/ Chapitre 20

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Ezyo

Ses lèvres pulpeuses m'appellent sans arrêt. Elle me réclame autant que je le fais.

Mes mains glissent sous ses fesses pour enrouler ses jambes autour de ma taille. Je les caresses comme si c'était à la fois la première et la dernière fois.

J'ai besoin d'elle, c'est mon souffle de vie. Grâce à elle, je me suis trouvé, grâce à elle je vis et j'aime ça.

Chaque fois que nous nous séparons pour reprendre nos souffles respectifs nous finissons pour se jeter à nouveau l'un sur l'autre.

- Ezyo, gémit elle.

Le peu de contrôle que je réussissais à maintenir s'effrite.

Je laisse tomber ses lèvres pour m'attaquer à sa mâchoire que j'embrasse doucement jusqu'à son lobe. Je le mordis, le lèche, le succote.

Sa respiration s'accélère, son souffle se transforme en gémissement qui fait lever sa poitrine bien trop vite.

- Ezyo s'il te plaît, lâche t elle les bras enroulés autour de mon cou.

Un grognement m'échappe, je ferme les paupières un instant pour tenter de reprendre mes esprits.

Ça ne peut pas se passer comme ça, pas ici, pas maintenant, pas de cette manière.

Elle mérite ce qu'il y a de mieux pas une baise sur le comptoir de la cuisine.

Je passe ma main dans son cou et remonte jusqu'à atteindre sa bouche.

- Chut trésor, sinon je risque de perdre le contrôle et ce n'est pas ce que tu veux, lui dis à quelques millimètres de son visage mon front appuyer contre le sien.

De ses iris vairons elle me défie du regard. Un pose sa main délicate sur mon bras et le fait glisser jusqu'à ce que ma main rencontre son sein cacher sous le t shirt, mon t shirt.

- Putain Ivyna... Laché je dans un râle.

J'englobe son sein, le malaxe sans jamais la lâché du regard.

Ses lèvres pulpeuses qui en feraient damner plus d'un sont légèrement entrouverte laissant échapper ses soupires de plaisir.

Je passe mon pouce sur son téton et immédiatement un petit glapissement lui échappe.

Ayant envie de plus je recommence jusqu'à ce qu'il soit dur comme de la pire.

- Tu te trompes... Me murmure t elle.

Mes sourcils se froncent. Mon esprit est tellement embrumé par le désir que je suis incapable de réfléchir.

- Quoi donc mon trésor ? Lui demandé je en continuant de malmené son sein.

Un nouveau gémissement franchi la barrière de ses lèvres.

- C'est exactement ce que je veux... Me répond t elle.

- Tu ne sais pas ce que tu dis...

the bloodline (en réecriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant