T.2/ Chapitre 11

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Ivyna

Les poings d'Ezyo s'abattent sur Hector avec une telle force que je crains qu'il le brise en milliard de morceaux.

- Ezyo lâche le ! Lui demande Jayden plus fermement cette fois.

Cet abruti n'écoute rien et continue de s'attaquer à mon ami.

J'attrape une dague qui traîne sur mon bureau.

Nous lui demandons encore plusieurs fois d'arrêter mais il persiste.

Une fois à leur hauteur je saisi Ezyo par le col pour le faire reculer suffisamment pour qu'Hector puisse reculer.

- Je t'ai planté une fois je peux très bien recommencer mais cette fois je ne te guérirai pas. Alors arrête de te comporter comme un gamin immature !

Il me fixe comme si je venais de la giflé sans rien dire.

Son regard est toujours furieux. Il osie entre Hector et moi.

Sa mâchoire est si serré que je crains qu'il se casse une dent.

Ses poings sont légèrement tâchés de sang.

- Maintenant tu t'assois la et tu ne bouges pas. Ne me refais pas une scène pareil alors que tu ne sais même pas qui il est.

Ezyo soupire mais s'exécute tous de même.

- Il t'appel chéri, c'est une raison suffisante pour l'envoyer au Valhalla. Il fait semblant de réfléchir une seconde. Quoi que ce connard ne le mérite pas pour avoir osé t'approcher, râle t il.

- Tais toi sinon je te fais taire moi même, le menacé.

Au vu du sourire qui né au coin de ses lèvres je comprends qu'il ne l'a pas vraiment pris comme une menace.

- Après tu peux toujours me faire taire avec ta bouche sur la mienne ou ta main sur ma bouche pendant que tu me chevauches, dit il en souriant de plus belle.

Je sens la chaleur monter à mes joues comme une putain d'adolescente.

Le pire c'est que cette idée ne me déplaît pas tant que ça.

- Je peux aussi te couper la langue alors méfie toi, répliqué je plus troublé que je l'aurai voulu.

- Donc ce n'est pas un non, réancherit il.

Je le foudroie du regard et cette fois il le fait vraiment.

Maintenant qu'il est calmé je peux enfin me concentrer sur le principal concerné.

Je me tourne vers Hector soutenu par Jayden et Eliot.

- Merci beaucoup les garçons, installé le dans le fauteuil derrière mon bureau, je pivote vers Ezyo. Là où cette bête sauvage ne peux pas l'atteindre.

- À tes ordres princesse, me répond Eliot avec son magnifique sourire toujours présent.

Je dois bien admettre qu'Eliot est l'un de ce qui m'a le plus manqué. Sa bonne humeur constante et son humour parfois douteux réchauffe le cœur même dans les moments difficiles.

the bloodline (en réecriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant