38- l'effet d'une giffle

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Pdv Ezyo

Un rire nerveux s'échappe de mes lèvres.

Il a vu ma mère en dernier et n'a pas été capable de la sauver.

La rage me ronge les entrailles et je me lève d'un bon afin de me diriger droit vers Isaï.

- T'as pas sauvé ma mère ? Dis-je sèchement. Elle t'aimait et toi tu l'as laissé mourir?!

Je le plaque contre le mur le plus proche en le maintenant par le col.

Les garçons essaient d'approcher mais Isaï les arrête d'un geste de la main.

- Il a le droit d'être en colère on parle de sa défunte mère, déclare t-il calmement. Je comprends ta colère Ezyo mais j'ai fais tous ce que j'ai pu ! Tu l'as vu qu'elle était criblée de balle, mais j'ai tenu a respecter ses dernières volontés.

Je le fixe légèrement confus, ses yeux vairons exprime toute sa peine de regret, de culpabilité et de dégoût. Du dégoût envers qui ? Lui ou moi ?

Il devrait se défendre me repousser exprimer sa colère comme je le fais mais il se contente de me laisser le défouler.

- Comment t'as fait pour sauver son bébé ? Dis-je pour m'éloigner du sujet.

Il déglutit difficilement, sa respiration est saccadée à cause de la pression que j'exerce sur sa traché.

Conscient que si je veux qu'il parle il doit pouvoir respirer je déserre ma prise sur sa gorge.

Il prend plusieurs grande inspiration avant de débuter:

- Quand son cœur a cessé de battre, je les immédiatement prise dans mes bras en direction de l'extérieur... Mes hommes avaient déjà rapproché le camion de secours pour que je la place à l'intérieur. Les médecins se sont occupés d'elle, ils ont fait tous ce qu'ils ont pu pendant plus d'une demie heure mais c'était trop tard.

Son regard se perd dans le vide comme si il revivait la scène. Je m'en veux de lui infliger ça mais j'ai besoin de savoir ce qu'il sait réellement passé.

- Quand ils ont fini par arrêté les soins et ont voulu lui retirer l'oxygène j'ai refusé. Ils n'ont d'abord par compris et ont tenu à me faire comprendre qu'il n'y a plus aucun espoir. Je devais tenir ma promesse, alors je leur ai dit qu'elle était enceinte de cinq mois et que tous autant qu'ils sont si le bébé ne survit pas je les tuerai, lâche t il avec autant de colère qui si la scène se déroulait à présent.

Nous relevons tous la tête dans sa direction les sourcils froncés, ce n'est pas dans les habitudes d'Isaï de tuer des innocents bien au contraire c'est même la devise de la Bloodline.

Ses fils sont aussi surpris que nous de toutes évidences ils ne connaissent pas cette partie de cette histoire.

- Ils l'ont immédiatement emmené à notre ancienne base pour la garder suffisamment vivante pour que l'enfant vive.
Durant trois mois elle est restée liée à des machines alimenté par sondes son sang coulait grâce à des machines tous comme sont cœur et ses poumons. Il y a 18ans lors du soltisce d'hiver mon téléphone s'est mit à sonner alors que j'étais sur le point de rentrer du magasin avec les cadeaux des enfants. Le bébé voulait sortir un mois trop tôt mais ce n'était pas très grave on était près à l'accueillir. J'ai pas réfléchi une seconde j'ai foncé vers la base pour accueillir le bébé de la femme qui a rythmé ma vie de bonheur. Elle était tellement pressée que quand je suis arrivé elle pleurair déjà emmitouflé dans une couverture bien chaude dans un incubateur pour la garder au chaud mais....

the bloodline (en réecriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant