the bloodline (en réecriture)

53- Nouveau pays

Ezyo

Ça fait maintenant de bonnes heures que nous avons embarqué à bord de l'avion en direction de Belize.

Pour plus de discrétion nous avons fait le choix de prendre un vol classique en première classe.
Si nous avions pris un jet privé nous aurions eu du mal à passer inaperçu lors de l'atterrissage dans ce petit pays.

Belize est magnifique pays situé en Amérique centrale rallié au Mexique. Il est connu pour ses beaux paysages mais aussi pour sa pauvreté et son taux de criminalité extrêmement élevé à cause de la mafia mexicaine.

Nous devrions atterrir d'ici deux heures.
Nous sommes tous du voyage à part Isaï qui a dû à la Bloodline pour la diriger.

Même Eos est de la partie sagement assis à côté de moi, au vu de son état pitoyable nous nous sommes procuré une fausse plainte d'agression.

Au moins en cas de questions de la part de la sécurité des aéroports nous pouvons justifier son état sans risquer quoi que se soit.

Quatre jours après la disparition de Layla, Riley et Ivyna aucun de nous n'a encore fermer l'oeil.

La fatigue commence à prendre grandement possession de mon corps.

Lorsqu'une hôtesse de l'air passe prêt de moi je l'interpelle poliment :

- Excusez moi mademoiselle ?

Immédiatement la femme se stoppe et m'adresse un sourire polit.

Elle est vêtu d'un tailleur bleu marine avec une chemise blanche en dessous et des escarpins bleu marine d'environ douze centimètres. Ses cheveux sont tirées en un chignon imperméable dont aucune mèche ne dépasse, pour accompagner le tout son visage est légèrement maquiller pour sublimer ses traits délicats.

- Que puis - je faire pour vous ? Me questionne t elle.

- J'aimerais un café s'il vous plaît.

- Bien je vous apporte ça toute suite monsieur, dit elle en s'éloignant en arrière cabine.

Quelques minutes elle revient avec un bon café fumant que je prend le temps de discuter.

On a tous essayé de trouver sommeil cette nuit en sachant que pour cette mission nous devons être au maximum de nos capacités.

L'échec n'est même pas une option envisageable.

Malgré nos efforts pour trouver le sommeil aucun de nous n'y ai parvenu.

Nos esprits sont tous trituré par des sujets différents mais orienté vers les mêmes personnes.

Les trois femmes de nos vies.

Après avoir tourné des heures dans mon lit j'ai fini par ouvrir la valise de notre voyage pour en extraire le pull préféré d'Ivy pour le serré contre moi.

Malheureusement même ça n'a pas suffit. Je suis donc descendu dans le salon.

Quand j'y suis arrivé tous les garçons étaient installés dans le salon ronger par l'angoisse.