Chapitre 68

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(Toujours au même endroit, je sais ça fait 18 chapitres mais ça change bientôt vous inquiétez pas)

Baptiste : EH ! VOUS LÀ !

Mathilde : (MAIS QU'EST CE QU'IL FOUT ??? Sa mère on va crever...)

Baptiste : *les yeux secs* ALLEZ VOUS FAIRE F*UTRE ! TOUT LE MONDE VOUS HAIS ! VOUS ÊTES PAS DÉSIRÉE ! MÊME VOTRE GOSSE PARLE MAL DE VOUS ! VOUS POURRIEZ MÊME PAS NE PAS PLEURER PENDANT PLUS DE 10 MINUTES ! (gros ramassis d'insultes bien violentes qui dure 5 minutes supplémentaires) ! Whouh ! Ça fait du bien de se défouler.

Sadness queen : Tu... TU AS RAISON, JE SUIS NULLE, PERSONNE NE M'AIME, JE ME DÉTESTE ! *fond en larmes et se met en pls au sol dans la plus grande lamentabilité*

Mathilde : *chiale aussi encore plus* P*tain, ducon. C'était ça ton plan ? C'est réussi ! On voit vraiment plus rien, maintenant ! *Tousse* Ah m*rde ! C'est horrible...

P-N : EH ! snif... COMMENT TU FAIS POUR PAS snif PLEURER AUSSI ?

Baptiste : BAHAHA ! La réponse est simple ! Seules les personnes sensibles aux émotions des autres pleurent. Or, je n'ai ni empathie envers les inconnus ou même certains de mes amis, ni sensibilité, j'aime pas les gosses, les gens, les animaux, l'amusement, les objets, l'alcool, la drogue, la vie, je suis orphelin, j'ai jamais eu de vraie figure parentale et on m'a ''éduqué'' pour ne pas avoir de sentiments. Bon, je reste un humain, donc je daigne offrir l'honneur de mon affection à certaines personnes, genre l'autre juste ici, *montre Mathilde* maiiiiiis, j'ai quasi jamais chialé de ma vie. Donc c'est pas ici que ça arrivera !

Yaoyorozu : Comment c'est possible ? *S'essuie le visage* C'est un alter, non ? Alors...

Baptiste : Euh... *utilise Google trad* Je vous explique. En gros, vous pleurez ses larmes. Si elle arrête de pleurer, vous aussi ! Bref, si vous voulez arrêter, faut qu'elle le fasse aussi !

Mathilde : H'es marhant toi, tu viens d'aggraver les choses ! *Renifle* Elle est en déhression maintenant ! *S'essuie le visage* On voit plus rien, je sais m-même pas si je te parle à toi ou à un chou hleur !

Baptiste : Déjà, articule mieux je comprends mal ce que tu dis. Et de deux, ouais, mais regarde comme elle est faible ! On pourrait presque la buter comme ça...

Mathilde : Oh ! Ferme la, on est pas là pour ça, reste civilisé !

Baptiste : Bon. D'accord... Hmm... J'ai quand même un peu peur de me faire tuer, alors... Ah ! Midoriya~ ? Ça te dit de, je sais pas, l'attaquer à ma place ? Un gros coup dans la gueule genre ! Le même que tout à l'heure ! Ça va la sonner comme il faut ! Bam, dans sa tronche ! Et accessoirement tout le reste de son corps.

Midoriya : *parle français comme il peut* Euh... Ça... Ça lui ferait trop de mal, je ne peux pas. *Ne s'essuie même pas les yeux à cause de l'habitude de pleurer*

Baptiste : Oh, allez ! Depuis quand t'as peur du risque ? Tu risques ta vie à longueur de journée ! En plus tu peux attaquer à distance. Vas y mec, lâche toi ! Au pire il se passera quoi ? T'es... Approximativement guéri ! C'est bon, arrêtes ton cinéma, attaque les et sortons d'ici fissa.

Midoriya : Hmm... Ça se tente. Mes brûlures ont commencé à cicatriser et je n'ai pas été blessé par mon alter tout à l'heure. Je peux le faire !

Uraraka : *se place devant Midoriya, parle avec un français correct* Baptiste. Laisse moi le faire, je vais l'envoyer dans la stratosphère.

Baptiste : Euh... Tu peux pas attaquer à distance, ça pourrait être dangereux.

Uraraka : *déterminée* Pas grave.

Baptiste : ... *Enjoué* Ok ! Vas y, fais ce que tu veux !

Midoriya : Uraraka ! Non, c'est *renifle* dangereux ! Tu ne peux pas-

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