Demon Wolf and Light Angel

Ville au vent

Annyeong les ARMY 's ! Voila le chapitre 56 de DWLA ! Désolé de ce long retard mais la grippe m'a eu cette connasse et je me sentais pas du tout d'écrire (ni même de faire quoi que ce soit en fait) mais voila les chapitres sont de retour ! On vous a pas trop manqué ? Bref on se retrouve pour le dernier monde de cette fanfic qui arrive à son terme ! J'espère que ce chapitre assez descriptif pour le coup vous plaira ! Bonne lecture à tous et merci de nous lire ! Kiss sur vos omoplates !

Les sept garçons traversèrent le dernier portail un par un. Ils sentirent le flux d'énergie traverser une fois de plus leur corps pour la dernière fois. Et c'est dans un soupir de soulagement de Jimin posa le premier le pied sur la nouvelle terre. Ouvrant les yeux sur le paysage, son regard rayonnant d'espoir perdit vite son étincelle en voyant ce qui l'entourait. Lui qui cherchait la beauté dans ces moindres cachettes, il ne trouva devant lui qu'une magnificence fanée, perdue à jamais.

Se décalant du portail encore ouvert, Jimin laissa entrer les autres pour qu'ils puissent à leur tour faire leur apparition. Ce fut d'abord Jungkook qui sortit. Il se dépêcha pour atteindre les côtés de son petit-ami pour le serrer dans ces bras. L'ainé sentit le corps chaud de son amoureux étreindre par derrière. Un léger sourire lui vint et il fit partir sa tête en arrière pour la laisser se poser sur l'épaule de son Kookie.

V et J-Hope apparurent main dans la main. Ils furent suivi de Jin qui soutenait encore Namjoon. Ce dernier suite à ses nombreux efforts étaient quelque peu fatigué mais assez en forme pour se déplacer seul. Mais comment aurait-il pu refuser l'aide d'un Jin inquiet et si mignon avec sa bouille apeuré ?

Le dernier du groupe arriva enfin. Le garçon aux cheveux blonds posa ses deux pieds sur la terre ferme. Et alors que la dernière parcelle de peau qui le reliait au portail se séparèrent celui-ci se ferma. Il ne restait derrière lui plus rien. Suga soupira avant de diriger son regard vers leur nouvelle destination. Et un léger sourire lui apparut tandis que celui des autres se fanèrent.

-Enfin un endroit qui est amusant. Se dit-il à lui-même.

Une ville. Ils étaient dans une ville. Mais une simple ville aurait été bien trop ordinaire pour que le sourire de Suga puisse naitre.

Cette ville était morte. Il n'y avait plus personne, pas même un animal pour y héberger. Pourtant cette endroit semblait avoir regorgé d'une riche population dans le temps. Des immenses immeubles de plusieurs étages de haut ornaient les trottoirs. Des chefs d'œuvre à eux tous seuls. Des buildings dignes des plus grandes capitales étaient présent. On pouvait très bien imaginé voir par les baies vitrés des réunions de travail des plus grandes entreprises du pays, voir du monde.

Des lumières devaient scintiller dans la ville et les voitures roulés dans tous les sens. Le bruit des klaxons devaient retentir dans les rues à des kilomètres à la ronde lors des jours de fête. Les enfants devaient jouer dans les rues pendant les grandes vacances avec leurs petits camarades tandis que les parents prenaient du bon temps dans un café pas très loin du parc pour les surveiller.

Et maintenant les seules lumières rayonnantes sont celles reflétées par le soleil et la lune dans les vitres sales des immeubles en abandon ou en ruine. Les rires des enfants et les klaxons se sont remplacé par un long silence dérangé des fois par le grognement des bâtiments contre le vent hurlant.

Le béton encore lisse est poussiéreux voir même sableux à des endroits. Des affaires des habitants ont été laissé dans la rues ou même balancé du haut des balcons pour venir s'écraser en mille morceaux sur le sol. Des débris de verre jonchent le sol alors que la rouille envahit tout ce qui lui est possible de prendre.

Le ciel lui-même semblait aussi gris que le sol. La lumière rayonnante et joyeuse que pouvait procurer le soleil a été comme aspiré par l'univers pour ne laisser à la place qu'un goût amer de tristesse et de fade. On pouvait voir des ombres se promener dans appartements inoccupés. Mais c'était que le reflets des nuages grisâtres, seuls choses encore mouvantes ici.