6- L'écriture

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Je lisais la lettre, cherchant une explication plus logique. Cette personne existait réellement. Elle risquait de mourir très bientôt, mais je devais la rencontrer avant que ça ne se produise. J'en était déterminé. Si seulement je pouvais savoir son nom. Elle savait le mien, mais ne révelait pas son identité de peur que je n'ai pas le collier. Et elle ne révèlerait jamais son nom. Du moins, pas avant la rencontre. Je suis triste pour cette veille dame et le fait de savoir qu'elle ne s'ai toujours pas habituée me décourage énormément. J'ai toujours cru qu'avec l'âge je m'y habituerais, mais non. Je devais lui écrire, mais je ne savais pas comment m'y prendre. Cette lettre devrais être touchante et lui faire comprendre que j'existe réellement. Que Jade Helin vie toujours et qu'elle port le collier avec elle. Et ce depuis toujours.

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J'essayais du mieux que je pouvais. Cela faisait une semaine que j'essayais d'écrire cette lettre, sans succès. Je recommençais, encore et encore. Je n'aurais jamais cru que cela serait aussi difficile. J'ai écris un brouillion, mais il ne me convient pas. Cette lettre doit être parfait, car je veux rencontrer cette femme. Elle à l'air spéciale et je sais qu'elle peut m'aider. Je sais qu'elle comprendrais si je lui disais ce que je ressens, ce que ma mère n'arrive pas à comprendre finalement. Au bout du compte, cela égale à pas mal tout. J'ai une mère merveilleuse, mais peut importe la personne, si elle n'a pas vécu l'horreur que tu vie constament, elle ne peut comprendre. Cette triste vérité me hante depuis toujours. Dans un sens, mon malheur est causé par toute cette imcompréhension des autres. Je vais pouvoir, avec cette dame, parler de toutes les choses que je n'ai jamais dites. Et elle feras de même. C'est tellement difficile et elle est la preuve humaine de souffrance. Elle s'est mariée et n'a jamais révélée son secret. Pas même à Simom, son mari. Le seul problème dans tout cela, c'est son emplacment géographique. Ou le mien, cela dépend de la version de l'histoire. J'habite à Orange, en Autralie. Tandis qu'elle habite à Mullingar, en Irlande. J'aimerais que ce soit simple. Nous pourrions être voisine par exemple. Dans un sens, nous somme voisines, voisines de continent et encore. Nous ne sommes pas si proche que cela. Il y l'Asie et l'Afrique qui nous séparent. Je suis tellement déçue. Je croyais pouvoir la voir et en apprende d'avantage sur elle. Elle pourrait faire de ma vie, un bonheur, car je pourrais me confier et avoir confiance envers quelqu'un. Mais je dois arrêter de penser à cela et me rendre à l'école.

J'entrais dans la voiture de ma mère, ne prononçant pas une seule parole du trajet. Je sortais et me rendais à mon casier. Alex n'y était pas, mais je me fou de lui. Il est stupide et il ne sert à rien d'autre que de causer des ennuies. Je prends mes cahier de géographie et me rends à mon local. Je sais qu'Alex est dans mon cours, mais je continurais à l'ignorer pour un petit bout. J'entre donc dans la classe et m'assois. Le professeur commençait son cours et je passais à une seconde de m'endormir. Mon bureau avait l'air tellemenr confortable. Mais je résistais et à la fin du cours Alex me tapotais l'épaule. Je faisait mine de rien, mais j'avais envie de le frapper. Si je pourrais me défouler, ça serait sans doute sur lui.

Je passe la pause avec Victoria qui me parle d'Alex. À vrai dire, je l'écoute à moitié. Je suis plongée dans mes pensées depuis que j'ai reçu la lettre. Je me demande si je pourrai la voir un jour. Et elle n'a pas eu la vie facile. Elle n'a jamais pu retrouver sa petite Marie, comme elle l'avait appelée. J'aimerais lui demander pourquoi elle l'avait mise en adoption, mais avant les lois étaient plus sévères. Je ne la verrais jamais et comme c'est partie présentement, je ne lui reparler jamais. Étant donné que je n'arrive pas à écrire une lettre. Une minuscule lettre. Elle peut être simple et courte, mais je tiens à ce qu'elle sois parfaite. J'ai tant de questions à lui poser. J'ignore pourquoi j'y tiens tant, mais j'y tient. Ça j'en suis sûre.

La cloche annonçant la fin de la journée sonnait, lorsque le professeur terminait son expliquation. Demain, j'aurais la journée pour écrire ma lettre, étant donné que nous serons samedi.

J'arrivais à la maison, faisait quelques devoirs et sautait dans la douche. Ma mère m'appelait pour le souper. Je descendais, tout en remarquant une fois de plus l'absence de mon frère. J'envoyais un regard interrogateur en direction de celle-ci, mais elle ne me remarquait pas. J'avais beau croire qu'il était chez ami j'étais inquiète.

- Il chez son ami, disait-elle.

Je ne lui avait rien demandé, mais elle savais que j'étais inquiète. J'était rassurer, mais j'étais encore tracassé. Mais pas par mon petit fère. Par cette vieille dame, elle m'obssedait presque. J'avais tellement envie de tout lui raconter. Mais je n'arrive même pas lui écrire. Mais pourquoi ne suis-je pas inspirée. J'ai une vie tellement étrange et complexe, mais pas assez pour écrire une simple lettre. Je n'y arriverai jamais, je dois m'y faire.

La soirée passait rapidement. Les devoirs, le souper, la douche et encore les devoirs. C'était maintenant l'heure d'aller dormir. J'enfilais mon pyjama et entrais sous les couvertures. J'eu un peu de difficulté à dormir, mais après une heure j'abadonnais. Je me levais de mon lit et descendait dans la cuisine. Tout le monde dormaient, je ne sentais aucune autre présence que la mienne. J'arrivais dans la cuisine, me versant un verre de lait. Il faisait très sombre dehors. Je repensais à ma soirée, ennuyeuse. Me rappelant à quel point je n'avais aucune inspiration. C'est alors qu'une phrase me revint en tête: J'ai une vie tellement étrange et complexe, mais pas assez pour une simple lettre. J'avais peut-être trouver la réponse, l'inspiration. Je devais mettre ma vie dans cette lettre. Comme l'avait fait la dame. Elle savait mon nom et ma petite différence, mais elle ne me connaissais pas. Elle ne sait pas mon histoire, ma vie. Elle crois que je vie dans le bonheur, avec une superbe famille et de merveilleux amis. Mais c'est faux. Je ne pas d'amis, du moins je ne crois pas. Ma mère ne s'occupe pratiquement pas de moi et mon frère me complimente régulièrement sur cette horrible corde qui orne mon cou. Je devais simplement laisser couler les idées.

Je retournais à mon lit et réussis à m'endormir, la tête pleine d'espoir. Je me réveillais le lendemain, sans même resentir le manque de sommeil. J'avais simplement envie de rencontrer cette femme.

Je déjeunais et prenais une douche. J'enfilais ensuite quelques vêtements confortables, mais beaux. Je suis ensuite sortie avec ma feuille et moncrayon, me rendant dans mon parc préféré. Je m'installais confortablement dans une balançoire et commençais l'écriture de cette lettre. Les mots avaient de la difficulté à se faire écrire, mais je prenais mon temps.

Je n'avais pas tout à fait terminer mon brouillion, mais j'avançais. Cela faisait trois heures que j'étais assise et que je travaillais sur cette lettre. J'avais écrit l'introduction. Je m'étais présenté et avait dit qu'elle personne j'étais. Il fallait que je décrive ma vie et me confie, pour qu'elle ressente la confiance. Elle devait savoir que je portais se collier et que je savais ce qu'elle ressentait. Je le comprenais parfaitement, puisque j'étais dans la même situation. Mais j'avais de la misère à le mettre sur ma feuille. Je rentrais, marchant vers la maison. J'arrivais la maison, m'installais à mon bureau et commençais à écrire ma lettre.

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Bonjour les amis,

Comment allez-vous? Sérieusement, ces temps-ci j'ai énormément d'inspiration. Je vous remercie de continuer à lire ce que j'écris et n'oubliez pas de votez et commentez. Sa me ferais super plaisir!!! Prochain chapitre sera la lettre de Jade. Je le publie bientôt! !.!.!

Je vous remercie d'avance...

PS. Je vous remercie pour les 100 lectures! C'est rien comparer à certaines histoires, mais j'en suis fière... Merci, merci, merci!

Abi xx

I BelieveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant