I Believe

21- L'avertissement

Je dois dire que c'est difficile d'écrire à quelqu'un qui n'a fait qu'empirer mes pensée, mais je sais que tu essayais de m'aider. Je dois avouer que j'ai essayer de chercher les lettres, mais même avant de recevoir ta lettre, j'ai arrêtée. Je savais que si Caria avait voulue m'en parler, elle l'aurait fait. Et cette femme était ma meilleure, donc la personne à laquelle je faisais le plus confiance. C'est peut-être stupide, mais le soir, avant d'aller dormir, je lui parlait et lui parle encore. Cela me fait du bien. Je lui donne de mes nouvelles et... Lui raconte mes journées.

La chose qui m'a le plus surpris dans ta lettre, c'est la façon dont tu écrivais. On dirait une adulte, je veux dire. Tu m'as dit que tu étais mature pour ta survie, mais une jeune fille comme toi devrait profité de la vie. Aller dans des party avec tes amies et son copain. J'ai vraiment trouvé que tu ne profitais pas de la vie qu'une jeune fille devrait avoir. Il difficile pour moi d'imaginer qu'une fille de 16 ans passent ses journées à écrire avec une vieille de plus de 80 ans.

Je suis très confuse présentement. Les informations que tu m'as données n'ont fait qu'agraver mon cas. Je suis de plus ne plus perdue. Je ne suis pas réellement triste d'avoir vue mourir sous mes yeux ma meilleur amie, car je ne suis même plus sûre de la connaître vraiment. Le truc qui m'a le plus choquée est que tu dis qu'elle a fait cela pour toi. Je ne te mentirai pas, je t'en veux légèrement. Mais puisque tu es la seule personne qui peut m'être utile dans toute cette histoire, aussi bien être gentille et écouter ce que tu as à dire. De toute façon, je ne comprend rien. Donc, je ne peux pas vraiment être en colère conte toi. Je ne suis sûre de rien. En tout cas, tu m'as dit de ne pas t'en vouloir, mais bon... Bref, elle a fait cela pour toi? Comment la mort de ma meilleure amie peut être utile? Je ne vois vraiment pas.

Tu as dit qu'un lien vous unissaient, mais que tu t'étais promise de ne le révèler à personne. Je comprend tout à fait ce genre de promesse. Je m'en suis fait une il y a quelques années, mais je ne suis pas comme toi. Je n'ai pas su la tenir. Malgré mon énorme curiosité de tout savoir afin que tout sois clairs, je te respecte dans cette décison. Mais si un jour tu as envie de te confier, fais-moi signe. Je pourrais comprendre et toi te libérer.

Merci pour ces maigres explications, tu as fait ce que tu pouvais. Du moins, j'imagine...

Aline.

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Je ne sais pas vraiment quoi penser de cette lettre. Elle m'a légèrement blesser, mais je crois que c'est normale. La seule chose dont je suis sûre est que je n'ai pas envie de lui réécrire. Pas pour l'instant du moins.

Après avoir déposé la lettresur ma table de chevet, j'enfouissais la tête dans mon oreiller. Les larmes coulaient, mais cette fois, juste pour tout sortir mes émotions. Au fond, c'est un peu comme toujours.

Une semaine c'était écoulée depuis que j'avais reçu la lettre. Ma petite sortie que j'avais prévue avec Will avait été annulé, car il devait aller voir le match de Hockey à son petit frère. J'étais en train de me brosser les dents juste avant d'aller rejoindre ma mère dans la voiture. Il restait moins d'une semaine avant les vacances d'hiver. Non, il restait une semaine d'école, sois cinq jours.

J'arrivais à mon casier, mais Alex était accôté et avait les yeux fermé.

- Bouhh, criais-je près de lui.

Il se réveillait en sursaut, laissent échapper un petit cri aigu.

- Mais qu'est-ce qui te prends? T'es folle, criait-il.

Il s'approchait de moi et soufflait quelques mots à mon oreille.

- N'oublie pas que je connais ton secret, dit-il en touchant du bout des doigts mon cou ce qui me fit frissoner, puis il partait.

Je commençais réellement à avoir peur... C'était insoutenable. Je prenais mes cahiers et me rendais à mon cours de mathématique. Je m'installais confortablement sur ma chaise en essayant d'écouter le professeur. En vain.

Je sortait de l'école au son de la cloche et commençais à marcher. Une voiture s'arrêtait près de moi et la vitre se baissait. Le visage de Will se faisait voir, me faisant signe d'y entrer. Je m'attachais à l'aide de la ceinture de sécurité, puis il démarrait. Ses mains serraient le volan, tellement ses jointures étaient blanches.

- Est-ce que ça va?

- Très bien, répondait William d'un ton sec. Désoler, mais je n'ai pas envie d'en parler.

- Bien sûre. Je comprends, répondais-je.

Une fois chez moi, je lui proposais d'entrer.

- Ouais!

Nous montions les marches du perron et pénètrions dans ma maison. Je saluait ma mère qui était déjà arrivée et montais dans ma chambre avec William. Je voyais le visage de ma mère confus, mais je l'ignorais. Je savais qu'elle soupsonnait William d'être mon petit copin, mais non. Alors, je n'ai rien à lui justifier.

Nous avons fait nos devoirs et parler pendant deux heures, mais je voyais bien que quelques choses ne tournait pas rond chez lui.

- Qu'est-ce qu'il y a, lui demandais-je.

- Mais rien. Tout va très bien.

- Je n'insiterai pas, mais je sais que tu mens. Sache-le.

- Je te remercie.

Nous avons continué de parler pendant quelques heures, puis il est partit avant que je n'aille souper.

La soirée a passée très lentement. J'écoutais la télévison, puis lisait. En allant voir tout mes réseaux sociaux, je finissais par m'endormir. Mes yeux se fermaient peu à peu. Mon pyjama en polar me tenait au chaud, en plus de mes couvertures.

Il le sait... Il le sait vraiment, me disait une voix. Tu ne peux rien y faire. Surveille bien tes arrières, car il peut tout gâcher. C'est simple pour lui. Seulement quelques mots et ta vie est ruinée. Est-il assez méchant, tu te demandes. Je crois que oui, mais cela dépend en partie de toi. Agis bien!

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Coucou les friendz!

Je veux juste vous expliquez que la première partie en italique (celle qui est séparée par la ligne de points) est la lettre de Aline. Et la deuxième partie est (celle juste en haut) est un rêve d'avertissement pour ainsi dire. Sinon, merci beaucoup pour le nombres de vues qui augmente sans cesse. C'est juste incroyable! Merci...

Abi xx