9- La mort du collier

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Le colis c'était ouvert devant mes yeux. Vous savez dans les rêves, lorsque tout devient flou. J'étais vraiment confuse. La boîte se tenait devant moi et attendait que je ne jète un œil à l'intérieur. Je n'avais pas réellement envie, mais la curiosité l'emportait sur la peur. M'approchant de la boîte, j'aperçut une enveloppe ainsi qu'une autre boîte. Je pris l'enveloppe entre mes mains tremblotantes.

Chère Jade,

Je suis tellement heureuse que tu es répondue à ma lettre. Maintenant que la lettre est entre tes mains, tu dois savoir que je comprends totalement que tu n'es pas eu envie de te confier. Je dois t'avouer que suis heureuse que tu existe. C'est étrange à dire, mais c'est pourtant vrai.

Je sais que tu aimerais savoir mon nom, mais (en ignorant la raison) j'aimerais le garder secret. Je dois te demander quelque chose. Ne répond pas à cette lettre. Ce serait une perte de temps. Je t'expliquerai plus tard. Juste avant, tu dois savoir que tu as un peu sauver ma vie. Mais tu l'as un peu tuée en même temps. Je suis vieille et les émotions trop fortes affecte mon système. Tu comprendras. Je dois t'annoncer que ta réponse m'a apportée le plus grand bien. Je ne me suis pas sentie aussi heureuse depuis longtemps. Tu m'as donnée envie de retrouver ma fille.

J'ai exécutée des recherches. Puis, j'ai trouvée. Elle s'appelle Maria. J'ai appris que son nom avait été modifié pour lui faire oublier ses souvenirs. J'ai voulue savoir où elle habitait. J'ai appris qu'elle habitait dans à Orange, en Australie. Tout comme toi. J'ai appris qu'elle avait une fille et un garçon. Que son mari était mort, tout comme un autre de ses enfants. J'ai alors penser que c'était une coïncidence, mais je n'arrivait pas croire. Je sais que tout cela c'est passé tellement vite, mais je voulais savoir. J'ai appris que tu étais sa fille. Au début, je ne l'ai pas cru. Mais le lendemain, tout s'expliquait, tout d'assemblaient à la perfection. J'ai réalisée. Ne sachant pas comment réagir, j'ai fait une petite dépression. Et sans réfléchir, j'ai voulue tester. Enlever le collier, mais je savais que tu attendais ma réponse. C'est pourquoi j'ai pris le temps d'écrire cette lettre. Voila comment cela c'est passé.

J'ai écris la lettre, puis appeler ma meilleure amie. Pas d'importance, pour son nom. Je lui es dit de me retirer le collier, de le mettre dans la boîte et de le poster. Ce qu'elle a fait. Je suis donc morte sous ses yeux, ce qui est extrêmement triste, mais je n'avais pas le choix. J'y croyais. J'étais sûre de mourir...

Jade, je crois. Je suis Aline, l'amie de Caria. Je devais te demander ce qu'il se passe. Pourquoi Caria est-elle morte lorsqu'elle a retirée le collier? Je n'y comprends rien à rien. Répond-moi.

Aline!

En ouvrant la boîte, les larmes aux yeux, j'ai aperçus une petite boîte. Je l'ai pris, puis l'ai ouverte. A l'intérieur se trouvait le collier. Le même que moi. Je n'arrivais pas à comprendre ce qui lui était passé par la tête. Mais tout ce que je savais, était que c'était réelle. La mort était reliée à ce collier et j'en avais la preuve humaine. Je n'arrivais pas à penser à autre chose. Cette femme hantait mes pensées. Mais peut-être n'étais-ce pas une simple métaphore. Peut-être hantait-elle réellement mes pensées. Après tout, elle était devenue un fantôme. En temps normal, un fantôme avait la possibilité de pouvoir hantée les choses ou les personnes. Mais pouvaient-ils hanter les pensées des humains. Je n'en serait jamais sûre. C'était purement improbable, mais pas impossible. Je savait plus quoi en penser.

Le lendemain, je me rendait à l'école à pied. Ma mère travaillait plus tôt ce matin, ce qui faisait que je devais marcher. En arrivant à mon casier, Alex et Victoria était là. Ils s'embrassaient et avaient l'air amoureux. Dans le cas de Victoria seulement. Malheureusement, elle ne se rendait pas compte que tout ce qui comptais pour Alex était son jolie visage. Je savais qu'au plus profond d'elle-même, elle savait qu'Alex n'était qu'un salaud, mais elle ne voulait pas l'avouer. Je n'avais jamais émis la possibilité qu'elle ne s'en rendait pas compte. C'était totalement impossible. Elle l'avait admis. Mais était-ce simplement une façon de m'amadouer pour que je l'aide à le séduire. Mais je n'avais rien fait pour l'aider, seulement l'éloigner. Mais le lemdemain, elle avait commencée à le réquenter. Je savais que je ne pouvais pas lui faire confiance, mais cela n'était pas du nouveau pour moi. Je ne pouvais faire confiance à personne. Personne, maintenant que la dame est morte. J'aurais aimé savoir son nom avant qu'elle meurt. J'aurais aimé la rencontrer. Pouvoir lui parler dans la vrai vie. Mais c'était maintenant impossible. Encore une fois, c'était la distance qui nous séparait. Mais pas la même sorte de distance. Une distance incalculable, inimaginable et même impenssable. Mais même ma mère, celle qui m'avait supporté toute ma vie, n'était pas au courant de l'existence de cette dame. Elle ne serait probablement jamais au courant.

Je poussais le bras d'Alex pour avoir accès au casier. Il se découlait de Victoria afin de m'envoyer un sourire. En guise de réponse, je lui grimaçait un sourire. Il donnait un dernier baiser à la jolie blonde qui lui servait de copine, avant de la laisser filer vers son casier.

- Je te connais Alex, annonçais-je avec un ton qui soupçonnait la menace.

- Qu'est-ce que tu veux dire, demadait Alex avec plus de gentillesse que je ne l'aurais imaginée venant de lui.

- Je le sais que tu n'aimes pas Victoria, comme la majorité des copines que tu as eu dans ta vie.

Il me regardais surpris, comme s'il n'avait jamais envisagé la possibilité que quelqu'un s'en rendre compte. Je détournais le regard en direction des cahiers qui se trouvaient dans ma case. Il avait l'air très perplexe.

- Tu as raison, mais j'en aime une autre.

- Je suis ta nouvelle confidente, lui demandais-je avec ironie.

Il riait, m'envoyant un regard amusé.

- Je n'est pas envie de l'être, ajoutais-je. Tu pourrais simplement arrêter de me parler. De cette manière, je pourrais être heureuse.

Il détournais le regard. Je croyais qu'il allait se mettre à rire au eclats en se dirigeant vers la classe de math. Mais il affichait un regard blessé en se dirigeant vers le local de math. Je n'arrivais pas à comprendre ce garçon. J'attirais son attention en lui lançant mon crayon par la tête.

- Tu ne devrais pas jouer avec les sentiments des autres. C'est mal, ajoutais-je.

Je le laissais sur cette phrase, le dépassait et entrais dans ma classe. J'arrivais de justesse à la cloche.

La journée passait avec lenteur. Quand la cloche annoçant la fin de la journée sonnait, je courais vers la sortie, armée de mon sac d'école. J'entreprenais ma marche, quand j'apercevais Victoria en pleure. Je m'approchais d'elle, lui demandant ce qu'il se passait.

- C'est Alex, disait-elle. Il m'a dit cela; je ne nommerai pas de nom, mais une personne en qui j'ai réellement confiance m'a dit que je devais pas jouer avec les sentiments des autres. C'est pourquoi je vais rompre avec toi, avant de te faire encore plus de faux espoirs. J'en suis désolé Vicky, annonçait-elle en imitant la voix d'Alex.

C'est moi qui lui avait dit cela. Il avait donc confiance en moi. Juste avant il m'avait dit qu'il en aimait une autre. Ce pouvait-il que cette autre fille sois moi? Je n'en étais pas sûre, mais rien n'étais claire dans ma vie présentement. À par le fait que j'étais totalement malchanceuse, rien n'étais sûr dans ma vie...

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Salut les amis, je suis contente d'avoir terminé ce chapitre. Je le trouve pas mal. Je vous avait dit qu'il n'y avais pas beaucoup d'action dans le chapitre précédent, mais je crois que dans celui-ci il y en a un peu plus. J'espère que vous l'avez aimés. Merci pour tout les lectures qui augmentent sans cesse. Je vous remercie... N'oubliez pas de votez et de commentez!!! Merci...

Abi xx

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