Selem Aleykoum ✨
« Lisez le mot à la fin »
**MAYA
Après avoir tout rangé dans la salle, nous sommes rentrés en silence, je me suis déshabillé et mise en pyjama tandis que Nabil prenait sa douche, j'ai passé une bonne soirée, mais comme à mon habitude il avait fallu que ça foire à un moment, j'ai mal pour Nabil mais aussi pour moi, parce que je les considéraient tous énormément et de devoir les négliger ainsi ça me fait mal. De devoir faire semblant que ça me touche pas; ça me brise encore plus.
Je me démaquille et rentre dans mon lit, je me tourne du coté du mur, dos à Nabil et quand Nabil rentre dans le lit à son tour, je l'entend souffler et me tourner le dos à son tour; ça me rends triste, c'est donc ça la vie que nous avons décidés de mener, se coucher le soir après des moments difficiles et se tourner le dos ?
Je me tourne et glisse mes bras tous frêle autour de son torse large, j'enroule ma jambe autour de son bassin, je l'entends rigoler ce qui me fait automatiquement sourire :
Nabil : Donc moi je suis ta pute pour que tu me prennes en cuillère ?
Je rigole et le serre encore plus contre moi :
Maya : Exactement t'es ma petite pute.
Il se tourne vers moi d'un coup de vent et me regarde avec ses grands yeux noirs, je relève mon buste un air interrogateur et joueur :
Maya : Quoi ? Un problème ?
Il m'attrape le poignet pour me tirer vers lui sauf que je me débat et réussit à m'échapper à temps, mais à peine je suis descendue du lit que je sens deux gros bras enrouler ma taille, morte de rire je n'arrive même pas à me défendre, il me jette sur son épaule avant de s'élancer sur le lit pour nous écraser dessus, comme une scène de catch, d'ailleurs il tape trois fois à côté de ma tête :
Nabil : Alors je suis toujours t'as pute ? Il me demande en rigolant
Son rire, je meurs pour l'entendre; sans qu'il s'y attende j'enroule mes jambes autour de sa taille et le tire pour me mettre à califourchon sur lui, je l'attrape par le cou et je vois dans son regard qu'il est complètement choqué, je m'approche sensuellement de son oreille :
Maya : Ne soit pas si offusqué...Ça à des avantages.
Je me relève lentement ma main toujours autour de son cou, la lèvre légèrement serrée entre mes dents, son regard noir ne me lâche pas, un petit sourire se forme au coin de ses lèvres.
Nabil : T'es comme ça toi ?
Je fronce les sourcils et me redresse laissant mon doigt glisser sur torse nu, il me regarde faire un sourcil levé; qu'est-ce qui me prends ?
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Nous deux c'est jusqu'à la muerte [TERMINÉ]
Action~Maya : Être nouvelle dans un quartier quand on n'y a jamais vécu c'est bizarre, on a l'impression de passer dans un monde parallèle, surtout quand on a toujours eu l'habitude de vivre dans de jolis appartements; c'est à dire que la vie ne prévient...