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Selem Aleykoum ✨

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MAYA

Je ramasse pour la énième fois un t-shirt de Nabil sur le sol :

Maya : Franchement Nabil t'abuses c'est le 5ème T-shirt de toi que je ramasse en deux minutes. J'ai jamais vu quelqu'un de si désordonné.

Nabil : Ah merci je le cherchais ! Il dit avant de l'enfiler

Je souffle et ferme une de mes valises, je l'entends derrière ricaner mais j'y fais pas trop attention trop préoccupée à ne rien oublier :

Nabil : « Aniania j'ai jamais vu quelqu'un de si désordonné. »

Je me retourne près à lui crier dessus mais quand je vois qu'il tient dans sa main une de mes culottes je m'arrête net,je deviens toute rouge, je dépose ce que j'ai dans les mains et m'approche de lui pour lui prendre des mains sauf qu'il met le bras en l'air pour pas que je puisse l'attraper.

Maya : Sérieux Nabil rend la moi s'il te plait.

Toute ma crédibilité tombe à l'eau, c'est vrai que depuis qu'il est arrivé ici j'essaye de faire du mieux que je peux pour passer pour la femme parfaite, je fais le ménage tous les matins, j'essaye de faire la cuisine pour lui faire plaisir même si...je rate beaucoup de chose :

FLASH-BACK :

Je suis tranquillement sur mon ordinateur de la musique dans les oreilles quand j'entends mon prénom de plus en plus fort, je me retourne et retire un écouteur, je vois Nabil dans l'encadrement de la porte torse-nu :

Maya : Oui ? Je demande

Il s'approche de moi et commence à me crier dans l'oreille :

Nabil : Je t'ai demandé "T'AS PAS L'IMPRESSION QUE ÇA SENS LE CRAMÉ BIZARRE "?

Je le pousse avec mon pied et me bouche les oreilles;

Maya : Maiiiis pourquoi tu me cries dans l'oreille ?

Nabil : Parce qu'à chaque fois que je te parle tu m'écoutes pas.

Je roule des yeux et attrape mon téléphone pour mettre ma musique sur pause :

Maya : eh bah j'en sais rien pourquoi ça-

J'ouvre grand les yeux et jette mon téléphone sur le canapé, je me met à courir dans la cuisine et ouvre le four en grand, de la fumée noire opaque sors de celui-ci, j'agite mon bras de tous les côtés pour essayer de la faire disparaitre. Mais c'est peine perdu, j'ouvre la fenêtre en grand et commence à tousser, je sors le plat du four et le jette sur l'îlot central. Derrière moi Nabil adossé à la porte qui me regarde avec un petit sourire en coin :

Maya : Vas-y je t'en prie rigole.

À peine j'ai fini ma phrase qu'il explose de rire une main sur le coeur, je roule des yeux et attrape le plat dans mes mains dégoûtée de le voir aussi noir et gâché, je jette tout le plat à la poubelle, Nabil se calme un peu et sors le plat de la poubelle :

Nous deux c'est jusqu'à la muerte [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant