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Selem Aleykoum ✨

Selem Aleykoum ✨

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MAYA

Les journées passent et rien ne change, mes journées sont toujours les mêmes à quelques points près, maintenant chaque jours c'est un garçon différent qui vient me récupérer devant l'université. Ma santé s'améliore à une vitesse fulgurante et il ne me reste que trois jours avec cette machine, l'examen de fin de trimestre approche petit à petit et mon stresse ne cesse d'augmenter.
Je n'arrête pas de travailler ce qui énerve quelques fois les garçons :

Flashback :
J'étais enfermée dans ma chambre, un pull large sur mon corps, mes lunettes sur le nez et des écouteurs enfoncés dans mes oreilles. Malgré la musique presque à fond dans mes oreilles j'entendais les garçons crier dans le salon, j'essaye de faire abstraction et de me concentrer le plus possible mais ça devient presque impossible quand je les entends ce disputer.
Je me lève et retire violemment mes écouteurs, je me sépare de ma machine et marche rapidement jusqu'au salon très énervée :

Maya : Vous avez fini de crier comme ça ? Je crie pour qu'ils m'entendent

Les garçons tournent la tête vers moi les sourcils froncés étonnés de me voir là, ma respiration s'accélère petit à petit du au manque d'air et à l'énervement.

Maya : J'essaye...De...Travailler. J'avais de plus en plus de mal à parler, donc...Veuillez faire moins...de bruit.

Ma phrase de ressemblait à rien, j'avais l'impression d'être Stevie dans Malcolm, celui qui a de l'asthme et qui a du mal à parler.

Aymen : Vas-y déconne pas Maya va chercher ta machine. Et c'est bon désolé on va faire moi de bruit.

Je hoche la tête et leurs tourne le dos, je cours presque dans la chambre et attrape le masque qui pendait à côté de mon bureau et le place sur mon visage.

Quelle vie.

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Je savais qu'ils se retenaient de m'insulter quelques fois mais bon, sachant que nous sommes en période d'examen je n'ai pas cours. Et comme par hasard aujourd'hui il fait beau, les rayons de soleil tape sur mes feuilles d'économies ce qui me perturbe.
Je tourne la tête les sourcils froncés vers la fenêtre, je me lève et ouvre la fenêtre pour me m'appuyer dessus, en bas le monde grouille, les enfants profite de cette belle journée et les garçons sont de retour devant le bloc.
Les filles papotent en se surveillant les petits dans les jeux, toute cette activité me manque, quand j'étais malade je ne pouvais pas sortir, quand j'ai des cours je ne peux pas sortir, en faite ça doit faire presque un mois que je ne suis pas sortie pour me balader.

Nous deux c'est jusqu'à la muerte [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant