Salam Aleykoum ✨
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MAYAJ'attrape mon sac à main, je regarde Amina et Tarik qui sont venus me chercher; ils m'ont énormément manqué. Aujourd'hui je rentre à la maison, après avoir passé pleins de tests je peux enfin rentrer chez moi, je stresse un peu de retrouver les garçons et j'ai peur de l'ambiance.
J'ouvre la porte de la maison, aucun bruit alors qu'il est 14h00 de l'après-midi;
Maya : Y'a personne ? Je dis en me tournant vers Amina et Tarik
Elle hausse les épaules, je tourne ma tête et avance vers le salon les sourcils froncés personne dans les couloirs, personne dans la cuisine seulement quand j'entre dans le salon j'entends des chuchotements;
Maya : Y'a quelqu'un ? Je demande en l'approchant du canapé
Au moment où je suis prête à me baisser, tous les garçons sortent de derrière le canapé;
Garçons : SURPRISE !
Je met ma main sur le cœur, des confettis nous tombent dessus , Rayan et Ilyès installe une grande banderole avec écrit « Bonne retour Maya ». Je me mets à rire;
Maya : C'est bon retour pas bonne.
Ils se tournent vers la banderole et pousse Ilyès;
Yanis : Mais toi t'es vraiment un trou du cul en faite. Tu sais même pas écrire deux mots.
Ilyès : Je vous avais dit de pas me donner ça à faire vous m'avez pas écouté. Il dit gênée et énervé
Maya : C'est pas grave Ilyès. Je dis en le prenant dans mes bras
Je les prends tous dans mes bras, ils m'ont quand même manqué et ça me fait du bien de rire sans me soucier de rien.
Amina : Putain j'en pouvais plus, je voulais trop te le dire.
Je la prends dans mes bras en rigolant, j'attrape un verre et commence à boire, je tourne la tête discrètement pour regarder ou sont Aymen et Nabil mais aucun des deux ne sont là. Je suis un peu déçue et mes nerfs montent encore plus, ils méritent vraiment pas que je leurs parles.
Je profite bien avec mes amis, on rigole, mange, l'après-midi passe très vite et on fini par s'assoir sur le canapé tous ensemble.
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Nous deux c'est jusqu'à la muerte [TERMINÉ]
Acción~Maya : Être nouvelle dans un quartier quand on n'y a jamais vécu c'est bizarre, on a l'impression de passer dans un monde parallèle, surtout quand on a toujours eu l'habitude de vivre dans de jolis appartements; c'est à dire que la vie ne prévient...