Mes amis, mes chevaux, ma vie.

chapitre 12

~mon Princeé

Je me dirigeai vers Théo qui titubait encore et le souleva par les épaule en lui chuchotant que c'était fini....Je le hissa sur Balisto qui comprit que son maître n'était pas bien. Je rassura Sucre d'Orge qui était paniqué par tous ses évènements, puis je grimpai sur son garrot et je parti en direction du centre avec Balisto qui trottait a côté de ma belle.

~arriver au centre~

je dessella Sucre d'Orge qui fut contente de pouvoir partir au galop avec Balisto, decidément ma chérie a du mal à faire un choix entre Turbo et Balisto tout comme moi avec Max et Théo mais moi, j'avais fais un dur choix...bref je parti pour trouver Théo qui avait réussi à descendre de son cheval sans problème et qui était en train de le desseller avec difficulté. Je viens près de lui pour l'aider et on commença a parler.

T; je suis desolé pour ce qui s'est passé, je n'aurais pas du, (il baissa les yeux pour éviter de croiser mon regard).

M: tu n'as pas à te pardonnner!(je le pris par ses bras musclé et ferme pour qu'il me regarde dans les yeux), je t'aime et ce n'est pas cette stupide événement qui va me faire changer, encore moins.... Je lui déposa un doux baisé pour lui montré à quel point je l'aimais.

Il avait encore des bleux et de coquart au niveau des yeux mais ça le rendait encore plus sexy ! Il me rendit se baisé puis glissa sa mains sur mes mains pour que je me rapproche encore plus de lui. Et comme si ça ne suffisait pas, il murmurait mon nom ? TROP MIGNON CE THEO !

Mais malheureusement les choses ne pouvaient se passer aussi facilement car je vis Amélie arriver vers nous...ho non pas elle ! Elle se rapprocha suffisamment pour voir Théo et moi puis se dirigea sur nous de son air de prétancieuse et de pute. Je me sépara doucement de Théo elle lui montra Amélie qui venait et compris tout de suite.

A: ho... Mais que vois-je ! S'étonnna-t-elle. Bien, bonjour Anais, me cracha-t-elle, et salut bon jeune homme, (elle se glissa entre moi et Théo. Je gardais la main sur celle de Théo que je sentis se contracter.)

T: bonjour, (lui dis Théo d'un ton nonchalant), je crois t'avoir déjà vu auparavant,(il me tira vers lui comme pour me protégé et glissa ses doigts sur mes hanche ce qui ne passa pas inaperçu à la peste de service). Je m'appellle Théo et je suppose que tu dois être la peste et conne de ce centre qui est prénomé « la stupide du 19ème siècle » mais je crois que tu le sais déjà ?! Il l'avait craché avec une telle méchanceté qu'Amélie ne su que dire... Quand elle retrouva enfin la parole elle lui cria :

A: he bas ! Nous avons le droit à un rebelle, (elle se glissa a côté de Balisto qui s'éloigna en la voyant approcher), apprend mon cher que je m'appelle Amélie, et comme pour le prendre pour un con elle ajouta,A-M-E-L-I-E imprime sa dans ta petite cervelle et sache que aucun mec ne résiste à moi, elle caressa Balisto puis en voyant Balisto plein de poussière elle s'éssuia sur son pantalon. Tu verras, elle le regarda dans les yeux, tu sera a moi bientôt ! Théo se mit à rire avec moi comme des fous qui viennent d'assister à une blague super puissante.

T:tu as trop regardé Titanic toi, il se remis a rire, sache que, d'une, (il pointa son doigts devant elle), je n'ai pas une cervelle comme ça, (il désigna sa tête), deuxièmement, (il montra un 2 sur ses doigts), je ne tomberais JAMAIS amoureux de toi, la peste du coin, car en plus d'être bête, (il désigna une nouvelle fois sa tête puis descendis en montant son t-shirt), tu es moche ! Puis devant ses yeux ahuris, il m'embrassa tendrement et je lui rendis aussi tendrement que lui, et troisièmement, il avait les yeux pétillants rivés sur moi, j'ai déjà une très belle fille, intelligente et juste parfaite, il posa son front contre le miens et me dévora des yeux.

Amélie, énervé comme tout, tourna les talons puis parti furax ! Alors je sauta dans les bras de mon PRINCE.