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Chapitre 33

PDV Hermione:

Une fois rentrer dans l'appartement, Théo et Ginny me sautèrent dessus.

- Mione ! Où étais-tu ? Me demanda Ginny.

- Et où est Drago ? Continua Théodore.

- Quelque part où je peux être tranquille ! Et pour Drago, je ne sais pas. Il n'est pas avec vous ?

- Non ! Après que tu sois parti, Monro et lui se sont battus, et quand on a enfin réussi à les séparés, il est parti ! On pensait qu'il allait te chercher..

- Au non..

- Quoi ? Dit- Gin' en voyant ma tête.

- Monro.. 

Sur ceux je partis en courant et passe dans tout les couloirs du château, avec derrière moi Ginny et Théodore, sans jamais le trouvé. Où peut-il bien être ? Je réfléchis à une vitesse que je ne me connais pas, mais soudain, un endroit me vient en mémoire ! 

- La tour d'Astronomie ! Murmurais-je.

Nous commençons à partir vers la tour en courant à toute jambe. J'espère qu'il n'a rien et qu'il ne s'est rien passé ! Dans les couloirs, plusieurs élèves nous voient et nous croisâmes Henri et Lylia, qui commencèrent à nous suivre. Une fois devant la porte, je l'ouvre et monte les marche quatre par quatre a toute vitesse. Quand je fut presque arrivé en haut, j'entendis des voix. Je reconnu alors celle de Parkinson.

- Lâche le ! Cria t-elle.

Je monte les dernières marches de l'escalier, et ce que je vis me glaça le sang ! Je crus que j'allais m'effondré ! Monro avait sa baguette pointée sur Drago et il commença à dire une sorte d'incantation. Une boule se forma au bout de sa baguette et devenais de plus en plus grosse. Je n'en pouvais plus, il fallait que j'interviennes ! Alors, sans réfléchir je me mit entre les deux garçons. Monro avait fini son incantation, et le sortilège se projeta sur moi !

- Hermione ! Cria Drago en se précipitant vers moi.

Je ne ressentais rien ! A part peut-être une immense colère ! Mais quelques secondes plus tard, je tomba à genou. Je ressentais une énorme douleur ! Pire qu'un Doloris ! Mais je ne hurlais pas. Malgré la douleur, je réussi à dire une chose :

- Pourquoi ? 

- Hermione.. je suis désoler tu n'étais pas sensé là ! Dit-il comme ci ce qu'il allais faire n'été rien.

- Parce que tu pensais que je serais où ? Dis-je méchamment.

- Ailleurs ! Répondit-il simplement.

- Et c'est une raison pour justifié ce que tu aillais lui faire ! Hurlais-je, de colère et.. de douleur.

- Il faut que tu ailles à l'infirmerie Granger ! Cria Parkinson qui était dans les bras de Zabini.

Je secouais doucement la tête et il reprit :

- Si ! Il faut que tu y ailles ! Dit Zabini. On a déjà entendu cette incantation et crois nous quand on te dit que si tu veux survivre il faut t'emmenait à l'infirmerie, sinon tu mourra dans les 10 minutes qui suive !

Je continuais de secoué la tête, quand tout à coup une nouvelle vague de douleur me submergea ! Mes mains touchèrent instantanément le sol, et en quelques secondes, de l'eau y apparut. Ils étaient inquiet je le voyais bien, mais je ne pouvais rien faire. Miraculeusement, je me senti mieux. Plus de douleur incessante, mais une tranquillité surprenante ! J'essayais encore de contrôler ma respiration, les battement de mon cœur. Mais je gardais les yeux fermé. J'ouvrit les yeux, et mon regard ce fit plus net ! Mes yeux être encore une fois, vert. Je regarde Monro avec des yeux qui aurait pût le tuer. J'aurais pût le tuer ! J'aurais aimer le tuer ! Lylia et Henri étaient là à regardé la scène l'air horrifier, alors que je me levais.