Chapitre 16

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 PDV Drago:

Elle est là, dans mes bras. Cela fait au moins 15 minutes qu'elle s'y est assoupi. Elle s'y était réfugié sans que je ne sache pourquoi ! Mais je ne l'ai pas repoussé, au contraire, je la serrais encore plus. Son parfum, tellement doux à l'odeur, m'hypnotise à tel point que je ne peux me détacher d'elle. Tout à coup l'horloge ce met à sonner l'heure du repas, je décide donc de réveiller la belle, afin d'aller manger. Je replace une mèche qui pendouillait sur son visage, derrière son oreille, et me met à caresser sa joue. Je la vois doucement ouvrir les yeux, et un énorme sourire illumina son visage.

- Il est l'heure d'aller mangé, la belle au bois dormant. Lui dit-je en sourient doucement.

- Je ne savais pas que tu connaissais le comte ?! Me dit-elle agréablement surprise.

- Ma mère me le lisait comme histoire du soir quand j'étais petit. Dis-je en me souvenant de l'une des histoire qu'elle me lisait !

Il s'agissait du livre qui, avec plusieurs recherches, m'avait indiqué l'emplacement du miroir des âmes-sœurs ! Ce livre m'avait beaucoup intrigué, et j'avais cherché à percer son secret. Et un jour en 4 -ème années, J'ai réussi à voir le miroir, mais n'ai pas osé voir mon reflet, certainement de peur d'y voir quelqu'un que je n'apprécie pas, ou encore que je ne connais pas !

- On devrait y aller non ? Me demanda t-elle doucement.

- Oui ! On devrait y aller ! Dis-je en sortant de mes pensées.

Elle sortit donc de mes bras et se leva. Je fit de même et nous sortons de notre salle commune pour nous rendre à la Grande Salle. Une fois arrivé, McGonagall fit son discours et laissa apparaitre la nourriture, sur laquelle les élèves se jette. Soudain, à la fin du repas, une chouette arriva, une lettre accrochée à sa patte. Elle la lâcha juste au dessus de la table des Gryffondors et celle-ci atterri juste devant ma colocataire. Tout les élèves et Professeur arrêtèrent de parler et nous regardions tous la brune aux boucles mielles. Elle sortit de la poche de sa robe de sorcière une friandise, et la donna à l'animal ! Celui-ci, après cela, repartit !

Hermione regarda alors la lettre de plus prêt, et fronça les sourcils, l'incompréhension pouvait ce lire sur son visage ! Soudain la belette, qui était assis à côté d'elle, regarda la lettre et lança, lui aussi perplexe :

- Mais Hermione, c'est une Beuglante ! 

- Quoi ? Mais qui a bien pu lui envoyer ça ? Demanda Ginny complètement perdu.

- Je vous rappel qu'une fois, je n'en ai pas ouverte une de ma grand-mère, et ça c'est très mal passé ! Leur rappela Londubat.

Le silence était complet dans la Grande Salle, personne ne parlait. Après quelques minutes, elle finit par lever la tête, et fixa son regard dans le mien ! On commençait à me regarder moi aussi, mais je m'en fichais. Puis elle reporta son regard sur la lettre, et commença à l'ouvrir ! La lettre se mit en place, prit la forme d'une bouche et dit :

" Ma cher Hermione, j'espère que tu vas mal ! Je t'avoue que te torturer me manque atrocement, mais bientôt je retrouverais mon joué hihi ! Le fils de mon maître ne t'aura bientôt rien qu'à lui. Je tient à préciser que tes pouvoirs, aussi grand soit-il, ne me font pas peur. Ho, et comment va mon cher neveu ? Je ne suis pas très contente, de ne pas avoir eu de nouvelle de sa part ! Il pourrait me tenir au courant tout de même ! Je suis sa tente ! Sans quoi, tu as de la chance que je sois de bonne humeur, je vais te confier quelque chose. Bientôt tu souffriras, hihihihihihihihi !

Bisous B.L".

Après cela la lettre ce déchira. C'était Bellatrix, ma folle dingue de tente. Elle est censé être morte ! Elle s'est fait tuer par Molly Weasley pendant la Grande Guerre.

Je vis Hermione pleuré à tout rompre. Mon cœur se déchirait de la voir comme ça ! Mais ce qui était sûr, c'est que j'allais la protéger, de une, parce que je me le suis promis, et de deux, parce qu'elle est maintenant un être cher à mon cœur !

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