Hello ! Je vous avais promis de vous parler de la musique, eh bien me revoilà (après une semaine et demi d'absence, je sais) ! Bon, tout d'abord, j'espère que vous allez bien, que vous ne déprimez pas trop, etc... !
La musique. C'est un cadeau de la vie. Ça existe pour consoler. Pour récompenser. Ça aide à vivre., Michel Trembley.
Alors, la musique, comment dire... ? Je pense que j'en ai une double approche puisque j'en joue et j'en écoute. Je pense que je vais d'abord parler de mon instrument de musique : le cor. Je vous vois venir ! « Hein ? Le quoi ? » Bon. S'il y a des gens qui connaissent le cor, qui savent que cet instrument existe, à quoi il ressemble, voire même qui en jouent, mais laissez-moi un commentaire ! Le cor d'harmonie (et non pas le cor de chasse, je ne vis pas totalement au Moyen-Âge) est un instrument tellement inconnu, j'ai l'impression !
Quiconque aime la musique ne peut jamais être tout à fait malheureux., Franz Schubert.
Bon, petite présentation : c'est un instrument à vent (c'est-à-dire que je souffle dedans pour produire un son... Nan, mais je précise, on sait jamais !) de la famille des cuivres (oui, comme la trompette, tout à fait. Ou le trombone, le tuba et l'euphonium. Quelqu'un joue de l'euphonium, ici ? Parce que c'est juste magnifique, comme instrument). Le cor, c'est un truc tout rond avec plein de tuyaux qui partent dans tous les sens, c'est assez volumineux et lourd. Pour que vous puissiez admirer la magnificence de cet instrument, je vous mets une photo. Admirez !
Sachez que quand on est corniste, les musiques de John Williams sont un vrai bonheur puisqu'elles nous permettent de jouer autre chose qu'un bruit de fond. Oui, John Williams ! Celui-là même qui a composé les musiques d'Harry Potter et de Star Wars entre autres ! Bon, c'est possible d'en jouer à plusieurs quand il n'y a pas de crise sanitaire. Je dis ça, je dis rien. Je joue plein de morceaux tous différents les uns des autres, et c'est juste génial. Ce qui est compliqué pour lae musicien·ne, outre le fait de déchiffrer sa partition, c'est de transmettre l'émotion voulue aux spectateur·ice·s. Celle que lae compositeur·ice a voulu mettre dans sa musique. Et la musique, c'est un peu comme les livres, pour moi : elle me parle. Je suis sûr·e que vous aussi, mais je parle là de la musique sans parole et, le plus souvent, classique. Oui, c'est là que vous vous rendez compte que je fait partie de ces personnes reloues qui écoutent de la musique classique comme Mozart, Vivaldi ou Bach, et qui sont coincées dans un temps reculé. Navré·e. Mais avez-vous déjà écouté les Quatre saisons de Vivaldi ? C'est si beau. Toujours différent... Ou quelques morceaux de Beethoven. Écoutez-en. Puis, dites-vous que ce compositeur a écrit ses morceaux en étant sourd. Non, c'est pas des blagues. Donc ce n'est pas qu'il a écrit ses musique "à l'oreille", comme on dit, mais de tête ! Qu'il avait les notes dans sa tête ! Surtout qu'il écrivait des morceaux pour plusieurs instruments, ce qui fait qu'il faut transposer, avoir la même tonalité, blablabla, pour que ça ne soit pas horrible à entendre. De tête ! Moi, ça me sidère. Chapeau bas, Mr. Beethoven. Bien sûr, je joue du Mozart, par exemple. Quand je joue pour mes cours. Mais je joue aussi des musiques de films, comme des Disney ! J'ai un grand répertoire.
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Rantbook d'un·e anarchaqueer, fierx et révolutionnaire
RandomHello ! Quelle ironie quand on se dit que je n'entre pas dans les normes de la société mais que je suis à la mode : écrire un Rantbook ! Bref, si vous êtes ici, c'est que vous n'avez vraiment rien à faire sur Watty, mais rassurez-vous, vous n'allez...