You Are a Memory - Message To Bears
(Je vous invite vivement à écouter la musique en lisant, mais aussi à regarder la vidéo, la danse est purement fabuleuse)
Ce soir,
J'aimerais écrire,
Comme on danse
Oui, comme on danse,
Un rien de "toujours",
L'espoir de "rien qu'une fois"
Serré dans le creux de ses mains
Quand tout s'éreinte brusquement,
En mouvances acerbes,
Sourdes et incomparables,
De gris éclatant
Morcelant le ciel,
Tiraillé par le souvenir,
De son ancienne lumière
Celle qu'on n'a peut-être jamais connu,
Mais qui s'aiguise dans le lointain,
Engloutissant les nuages,
Et tout ce qu'elle n'a jamais oublié
Tout ce qu'elle aurait voulu sauver,
Pour que ça reste encore,
Rien qu'un peu
Mais qu'elle n'a jamais pu,
Regarder une dernière fois.
Il faisait bon,
Je t'assure,
Mais à cet instant là,
Ça vibrait juste l'hiver, je crois.
On la sentait crisser,
La lueur grisâtre,
D'une violence âpre et douloureuse,
Dont le souvenir s'est égaré,
Avec le froid rougissant l'angoisse
La plus déroutante.
Il s'est arrêté,
Dans la course incertaine,
Du ciel qui a eu peur,
Du ciel qui s'est tu.
Et je crois qu'il savait,
Que personne ne l'attendait vraiment
Que ça bourdonnait de le voir
Que c'était trouble,
Vivement malheureux
Mais je crois qu'il est resté,
Parce qu'il n'avait rien d'autre à faire
Nulle part ailleurs où aller exister
Et,
Il m'a dit, je crois,
Que si je ne le regardais pas,
Cette fois,
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L'ivresse des Lucioles
PoesíaParfois, Je pourrais presque te voir Au coin d'une rue, À la lumière d'un porche Tu habites désormais ces lieux, Aux parfums de nostalgie Tu cohabites avec les lucioles, Et moi, Je te regarde Inlassablement, Dans cette lueur de rêve. _ _ _ Recueil t...
