Prayer - Keaton Henson
Le temps était si beau,
Suspendu gracieusement
Juste au-dessus,
De ses lèvres
Balançant
Lévitation silencieuse,
Douleur adulée
Quand vient la nuit,
Et qu'elle songe à vivre
À ne plus rien laisser glisser
De ses petites mains
Aussi maladroites,
Qu'elles savent être aimantes
Douces
Incontrôlables,
Inconsciemment libres
Lorsqu'elle cesse de penser,
Que ça rayonne moins ici
Que nulle part ailleurs,
Dans ce monde qu'elle aime tant
Lorsqu'il tournoie,
Qu'il envoie valser, ce qu'elle ne comprend pas
Ce qui la heurte,
Trop souvent
Sans que personne ne sache pourquoi,
Sans que personne ne décèle,
L'illusion
Et ne comprenne la sensation,
De vaciller
Sans cesse,
À la place du monde.
Elle pensait l'aimer
Elle s'était sentie capable,
D'y croire si facilement
Lorsque rien n'avait jamais été si fragile
Puis,
Ça se brisait un peu trop là-dedans,
Ça demandait peut-être
Plus que de raison
Puis,
Ça s'est plus jamais senti capable,
D'avancer,
À peu près correctement
De lever les yeux vers le ciel,
De se trouver belle
Je l'ai perdue
Et avec elle,
Les Lucioles
Ivres
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L'ivresse des Lucioles
PoesiaParfois, Je pourrais presque te voir Au coin d'une rue, À la lumière d'un porche Tu habites désormais ces lieux, Aux parfums de nostalgie Tu cohabites avec les lucioles, Et moi, Je te regarde Inlassablement, Dans cette lueur de rêve. _ _ _ Recueil t...