TRENTE-HUIT

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Astrid - Tin, tin, tintin... Tin, tin, tintin... Tin, tin, tintin, tintin, tintin ! Je déclare monsieur Benjamin Pavard et mademoiselle Hock unis par les liens du mariage. Monsieur Pavard, vous pouvez embrasser madame Pavard.

Je souriais en regardant furtivement Astrid que je portais dans mes bras, un sous son dos et l'autre sous ses jambes. Elle était déchirée à la mort, l'alcool mexicain c'était puissant. Comme j'avais vu qu'Astrid commençait à avoir la main lourde sur les verres, j'avais préféré la laisser boire à sa guise et me retenir pour pouvoir nous ramener après. Et puis, c'était nos un an de rencontre aujourd'hui.

Je récupérais le trousseau de clés que j'avais posé sur son ventre et remettais ma copine sur le sol pour ouvrir la porte, son dos contre celle-ci. Je venais à peine de tourner la clé dans la serrure qu'Astrid se jetait sur mes lèvres en calant ses mains sur ses joues. L'air mexicain la rendait encore plus agressive.

Difficilement, j'ouvrais la porte avant de retirer les clés pour les mettre dans le pot à cet effet et refermais derrière moi avec mon pied. Astrid avait descendu ses mains sur mon torse jusqu'à me pousser contre la porte, elle allait pas me lâcher. 

Astrid - Dis. m'interpellait-elle après nous avoir fait tombé sur le lit.

- Quoi ? je retirais une mèche qui lui barrait le visage pour la glisser derrière son oreille.

Astrid - T'aimerais avoir des enfants plus tard ?

- C'est une conversation sérieuse ? lui demandais-je en nous faisant rouler pour qu'elle puisse s'asseoir sur mon bassin et que je m'allonge sur le matelas.

Astrid - Un peu. Je me posais juste la question tout à l'heure quand on dansait.

- Je me disais bien que t'étais ailleurs. souriais-je en me mordillant la lèvre, elle avait été magnifique sous les projecteurs de couleurs orangées, faisant ressortir son teint bronzé.

Astrid - Voilà. Alors ?

- Oui, fin je pense. Après, je vois bien comment gèrent Lucas et Camille et ça me donne un peu envie. Faire ma vie de famille et tout. Et toi ?

Astrid - Moi aussi. J'en veux au maximum trois.

- Pareil.

Astrid - Après, c'est moi qui vais décider. souriait-elle mesquinement en se penchant sur moi pour poser sa joue sur mon torse tandis que je passais ma main sur sa nuque en balayant ses cheveux derrière son épaule.

- C'est clair.

Astrid - Ça commence à faire beaucoup Benou, le mariage, les enfants, bientôt on parlera du MonoSpace à acheter.

𝘵𝘩𝘦 𝘵𝘸𝘰 𝘰𝘧 𝘶𝘴Où les histoires vivent. Découvrez maintenant