SOIXANTE-ET-UN

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100K ici, je vous aime tous putain

𝙰𝚂𝚃𝚁𝙸𝙳 𝙷𝙾𝙲𝙺

Benjamin - Et celui-là ?

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Benjamin - Et celui-là ?

- Il peut s'accoler à notre lit ?

Mon fiancé regardait les caractéristiques du berceau avant de hocher de la tête, me faisant sourire.

- Il coûte combien ?

Benjamin - On s'en fout du prix Astrid. soufflait-il en revenant pour se coller contre mon dos. Faut de la qualité pour notre bébé. je mordillais ma lèvre en sentant sa main caresser mon ventre légèrement rond de quatre mois. D'accord madame ? me demandait-il en finissant par enrouler ses bras autour de mon cou pour coller mon dos à son ventre.

- D'accord monsieur.

Benjamin - Cool. Donc on a le berceau, la table à linger et le fauteuil pour que tu puisses allaiter. Il nous faut quoi d'autre ?

- Hmh, attends deux secondes. je pinçais mes lèvres en essayant de réfléchir. Camille m'a dit qu'elle s'occupait de la poussette avec le landeau et tout, Nathanaël c'est des ustensiles, genre le chauffe-bébé et Ousmane-

Benjamin - Une collection complète Benjastrid.

- C'est ça. riais-je doucement avant de me tourner vers mon brun pour embrasser plusieurs fois le bout de ses lèvres. Ah oui ! Le parc à jouets ! m'exclamais-je quand l'idée me revenait en tête.

Sans perdre de temps, j'attrapais la main de Benjamin pour le tirer jusqu'au rayon des parcs bébés et m'arrêtais devant en les épiant un à un. Faire du shopping pour mon enfant devenait mon activité préféré. Je ne connaissais même pas encore le sexe que j'avais déjà commencé à acheter pleins de vêtements blancs pour mon bébé. Je kiffais ça.

Et Camille aussi était à fond là-dedans, on se faisait des maxi après-midis shopping. Après, Benjamin était pas trop ravi à chaque fois que je ramenais trois sacs d'habits.

Benjamin - Lui il est pas mal. avouait-il en pointant du doigt un parc en bois plutôt sympa. C'est avec Sophie la Girafe.

- C'est pas faux. Tu vois notre enfant là-dedans ? souriais-je en entourant mes bras autour de son buste avant de poser mon menton sur le torse du bouclé pour le regarder dans les yeux.

Benjamin - Je crois ouais. il se penchait pour déposer silencieusement ses lèvres sur les miennes. J'ai hâte. soufflait-il contre ma bouche.

- Hmh, moi aussi monsieur Pavard, moi aussi.

... - Excusez-moi.

Je tournais ma tête vers la droite où une jeune femme était plantée devant nous. En me pinçant mes lèvres entre elles, je me décalais un peu de Benjamin qui gardait son bras autour de ma taille pour que je ne reste pas trop loin de lui. Un Benou protecteur parce-que j'étais enceinte, je ne demandais rien de plus.

𝘵𝘩𝘦 𝘵𝘸𝘰 𝘰𝘧 𝘶𝘴Où les histoires vivent. Découvrez maintenant