BONUS 5

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𝙰𝚂𝚃𝚁𝙸𝙳 𝙿𝙰𝚅𝙰𝚁𝙳

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- Benjamin donne !

Benjamin - Essaye de l'attraper, vas-y.

Je grognais en me mettant sur la pointe des pieds et en tendant mon bras vers la main de Benjamin qui était haute, au-dessus de sa tête. Alors que j'étais en train de décorer mon gâteau, ce con était venu m'embêter en me prenant ma poche à douille des doigts, m'empêchant de terminer ce que j'étais en train de faire.

- Je rigole pas, tout le monde va arriver là, arrête de faire le bête.

Benjamin - Bah récupère-la, je te regarde.

Fixant d'un regard noir mon mari, je finissais par mettre en avant sa faiblesse, soit moi.

Sans prévenir, j'attrapais les pans de sa chemise entre mes mains avant de tirer sa tête vers moi et sans lui demander son accord, j'écrasais mes lèvres contre les siennes. Ça eut pour effet direct de calmer son élan de rébellion vu qu'il soupirait contre ma bouche en baissant ses bras pour entourer ma taille.

Si lui souriait de bonheur contre mes lèvres, moi je souriais de malice, fière de voir que j'arrivais toujours à le manipuler.

Alors que Benjamin approfondissait le baiser en se penchant encore plus vers moi pour mêler sa langue à la mienne, je faisais discrètement passer mes doigts derrière son dos avant de choper d'un coup sec la poche à douille et de me décaler de mon monsieur qui rouvrait ses yeux.

- J'ai gagné. souriais-je en secouant l'instrument de pâtisserie devant son nez.

Benjamin - T'es chiante. râlait-il. Je voulais mon bisou moi.

- T'en as pas déjà eu assez depuis vingt ans ?

Benjamin - J'en aurais jamais assez de toi Astrid.

- Beau parleur va. rigolais-je en me tournant dos à lui afin de terminer mon gâteau.

Benjamin - Voyons bébé, jamais. riait-il dans mon oreille quand ses bras s'enroulaient autour de mes hanches et que son ventre touchait mon dos, sa tête coincée dans mon cou.

- C'est ça ouais. Vas vérifier que les enfants sont prêts.

Benjamin - Ils sont grands, c'est bon.

- On sait jamais avec Aaron, ça se trouve qu'il est encore sur sa console.

Benjamin - C'est pas faux. pouffait-il de rire en embrassant plusieurs fois ma peau.

- Arrêtes, on est pas tous seuls. je me mordillais la lèvre en le sentant me serrer contre lui.

Benjamin - M'en fous, ils seraient pas là sans moi.

𝘵𝘩𝘦 𝘵𝘸𝘰 𝘰𝘧 𝘶𝘴Où les histoires vivent. Découvrez maintenant