Chapitre 32

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NDA : MDRRRR vous m'avez fait paniqué !! Je comptais pas du tout faire les chaleurs, c'était plus pour dire qu'il se rendait compte de ses sentiments mais je m'adapte à vous ! 

Encore une fois merci à ma sauveuse qui a beaucoup aidé pour la création de cette scène totalement improvisée ! 

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Cette maudite chaleur je la connais bien, c'est celle qui signe le début de mes chaleurs. 

À force de gober ces inhibiteurs, j'ai complètement oublié que mes chaleurs approchaient. 

Et comme un idiot je n'ai toujours pas racheter d'inhibiteurs puisqu'un certain Haru m'a suivi durant tout le trajet ! 

Je ne sais pas où je vais en trouver mais je dois absolument m'en procurer avant qu'une catastrophe ait lieu. 

Mes chaleurs c'est une chose mais je n'ai jamais eu ce genre de picotement au coeur et encore moins en regardant Haru d'aussi près. 

Pourquoi il semble faire n'importe quoi dès qu'il s'agit d'Haru ? Et pourquoi cet idiot semble soudainement briller 

Je ferais mieux de me prendre une paire de lunettes 

Mais avant ça tu penses pas que gérer tes chaleurs serait une meilleure idée ? Non parce que je rappelle que tu es toujours à califourchon sur lui et ça semble lui plaire

Je prends un oreiller à ma droite et le pose sur le visage tout souriant de cet idiot avant de mettre un peu de force pour l'étouffer afin d'en profiter pour me dégager de son étreinte

Ne voulant pas le tuer non plus, je finis par retirer l'oreiller après quelques secondes mais il semble encore plus amusé 

Moi : arrête de rigoler ça ne m'amuse pas du tout 

Haru : ça ne t'amuse peut-être pas mais ça t'a plu d'être collé à moi 

Moi : rêve toujours 

Haru : je n'ai pas rêvé quand tu as gémis sur moi 

Moi : je n'ai pas gémis j'étais surpris de me retrouver sur toi idiot ! 

Je profite de la distance pour me rapprocher de la salle de bain

Moi : je vais me doucher en premier pour la peine ! 

Haru : on peut le faire ensemble tu sais 

Moi : la ferme. 

Je ferme la porte en l'entendant exploser de rire dans la chambre, ce qu'il peut être bête parfois ! 

Bon maintenant il faut que je trouve une solution pour ces fichus inhibiteurs, je laisse l'eau coulée sur mon corps et décide de sortir en acheter. 

Je ne sais pas si j'en trouverai mais je suis sûr que je trouverai de quoi m'aider dans cette situation. 

Le problème est que je ne dois surtout pas émettre de phéromones alors je ferais peut-être mieux de mettre plusieurs couches de vêtements pour étouffer mon odeur. 

Si des vêtements pouvaient étouffés des ruts ou des chaleurs je peux te dire qu'on serait au courant, ça suffit les idées débiles. 

La ferme c'est mon seul espoir en ce moment. J'arrête l'eau et me sèche avant d'enfiler mes vêtements. 

Haru : oh Kaori t'as bientôt fini je dois me-

En voyant son reflet dans le miroir je m'empresse de cacher à l'aide de mes bras mon torse encore nu et me retourne en criant 

Aime-moi autant que je te haisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant