KHADIJA

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Hawa23177 
Elle m'influence cette fille.
Mais bon, je suis de bonne humeur alors j'espère que khol ya ngui fekhhhh

Ce chapitre contient des scènes à caractères sexuelles très explicites.
Mais bon je ne suis personne pour vous interdire de lire😌.

Bonne lecture.
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     Nous entrons dans la maison de Tante Rokhy, elle est humble mais pleine de vie, tout ce dont je rêve. Tout est tellement coloré, je souris malgré moi en me retournant vers Amath qui lui de son côté, regarde la maison avec dégoût.

          — Allez entrez, j'ai fait des beignets de mil, je vais aller les vendre au marché plus tard, venez asseyez-vous, dit-elle en nous entraînant dans le salon avant de s'éclipser.

    Je m'assois tandis qu'Amath se tient près de la fenêtre guettant je ne sais quoi.
La dame revient avec un plateau avec des beignets, un thermos et deux tasses.
Elle le pose sur la table et nous sert.

— Amath, viens manger, lui dis-je.

— Hum, fait-il sans quitter la fenêtre des yeux.

Je goûte au beignet et bois dans le verre de thé.

— Hum c'est délicieux, dis-je sincèrement. Amath, viens manger.

          — Il me faut un téléphone, dit-il en se tournant vers la dame.

— Attends, je vais te chercher le mien.

La dame part. Je me tourne vers Amath.

— Tu pourrais être plus courtois avec elle, elle ne fait que nous aider.

          — Nous ne sommes pas en vacances chaton, des mercenaires nous recherchent pour nous tuer, dit-il froidement.

    Le Amath hautain est donc de retour. Je le regarde, perplexe.

— Et pourquoi des mercenaires nous rechercheraient ? C'est à cause de ta mère ?

— Non, un...

— Voici le téléphone, il y a du crédit, j'ai vérifié, dit tante Rokhy en tendant le téléphone à Amath.

   Celui-ci prend le téléphone et s'éloigne.

          — Merci ma tante, dis-je pour excuser le comportement de ce connard.

   Elle s'assoit près de moi et prend ma main entre les siennes. Je suis surprise par son geste mais quand je la regarde, je ne vois que de la bienveillance dans ses yeux.

          — C'est le minimum que je puisse faire ma chérie, ta mère était une gentille dame et une amie formidable, elle a juste été malchanceuse d'avoir choisi la mauvaise personne.

    Je reste confuse face à son affirmation.

          — Comment ça ? De quelle mauvaise personne vous parlez ?

          — De...

   Amath revient dans la pièce, coupant tante Rokhy.

         — Ah tu as fini ? Assis-toi et mange, tu dois avoir faim pour être de si mauvaise humeur.

    Amath s'assoit près de moi mais avant que je ne puisse relancer la discussion que des enfants entrent en trombe dans le salon.

         — Mame Rokhy, Mame Rokhy, Mame Rokhy !!! Crient-ils en panique.

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