NARRATEUR EXTERNE

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On continue l'aventure, j'essayerai de publier très régulièrement alors n'oubliez pas de voter et de commenter
Bonne lecture

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Le soir de la mort de Wolf

          — Je savais que tu ferais cette erreur, ces hommes ne t'appartiennent pas, ils seront toujours fidèles au Cercle..., adieu mon ami, dit Oncle Ben en passant prêt d'eux. Brûlez tout, qu'il ne reste plus rien d'eux.

Ses hommes hochent la tête sous le regard haineux de Wolf, essayant de se relever en se tenant son épaule amoché.

Le sort de Wolf et Silas était donc scellé. Oncle Ben s'engouffre dans une voiture et s'en va, irrité de s'être déplacé pour une chose aussi insignifiante.

    À l'arrière de la bâtisse, des hommes habillés en noirs s'arment, prêts à entrer dans le hangar.

— Patron, le dirigeant vient de partir avec quelques hommes, il ne reste plus qu'une dizaine d'hommes et le colis, dit l'homme qui semble être le chef, le téléphone à son oreille.

— Bien, allez-y, ils ne doivent surtout pas mourir, ni lui ni son homme de main, est-ce clair ? dit la voix déformée du masqué derrière le téléphone.

— À vos ordres.

Il raccroche et fait des signes militaires à son équipe qui se met en marche dans une chorégraphie synchronisée. L'un d'eux enfonce la porte et tous entrent dans le hangar d'une rapidité fulgurante. Pris de court, les hommes du Cercle tirent sur leurs opposants. Ils arrivent à en toucher trois hommes, mais ils étaient beaucoup plus nombreux qu'eux.

En quelques minutes, les hommes du Cercle sont tous à terre. L'homme de main du masqué va vers Wolf qui essaye de se relever avec l'aide de Silas et lui tend un téléphone.

— Qui êtes-vous ? demande Silas en se mettant devant Wolf.

— Mon boss veut parler à ton patron alors bouge, dit froidement l'homme de main du masqué.

— C'est bon Silas, nous nous devons d'être reconnaissant envers ceux qui nous ont sauvé la vie, dit Wolf en prenant le téléphone.

          — Vois-tu où ton impertinence et ta soif de pouvoir te mènera ? dit le masqué. Je t'ai donné un plan et partir récupérer ta marchandise n'en faisait pas partie. D'abord tu essayes de tuer Fatima et Ablaye, ensuite ça, je songe vraiment te laisser à ton pitoyable sort.

          — Je n'avais plus de nouvelles de ta part, qu'est-ce que tu voulais que je fasses ?!

          — Attendre, comme tout être doté d'intelligence. Maintenant, le Cercle vient de te tourner le dos, Wolf est officiellement mort, il ne reste plus que Nasir Mbaye, un pauvre bandit de bas étage, alors donne-moi une bonne raison de te sauver.

          — J'ai un plan pour arracher à Linguère tout ce qu'elle aime, dit Nasir sous le regard inquisiteur de Silas.

LINGUÈREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant