FAME 2

Chapitre 24: Une Évidence

Nous marchons encore pendant une quinzaine de minutes.

La forêt m'éblouit par sa grandeur et sa couleur sombre.

Mais je reste un peu sur mes gardes, pour éviter tout contact qu'il soit physique ou visuel avec un serpent.

Tom marche toujours à côté de moi. Mais nous avons rattraper tout le reste du groupe.

- C'est trop beau.

- on vient souvent ici, et toi tu ne t'en rend compte que maintenant ? Pouffe Gustav en direction de Jenna qui vient  de parler.

Elle lui répond par un vulgaire signe de main. Mais son sourire ne la pas quitté.

Et dire que j'aurai dû la rencontrer il y'a cinq ans...

Si ma mère ne m'aurait pas envoyé en Espagne, j'aurais peut-être réussie à m'innocenter.

J'ai tout de même hâte de rentré chez moi, pour enfin pouvoir passer à autre chose.

Mais je redoute tout de même le moment. Car je devrais retourner au lux. Lorsqu'on s'engage avec Mason aucun retour en arrière est possible, comme je l'ai laissé sous entendre à Bill.

Un mauvais frisson me parcourt.

La seule chose que je peux faire est espéré de tout mon être, que les clients termineront vite, et que je n'aurai pas trop mal.

Enfin sur ce dernier point, je sais que j'ai tord. Au vue de comment Tyler du haut de ses quinze ans m'avait fait mal. Je sais pertinemment qu'un homme qui a la quarantaine ou la cinquantaine, avec des désirs pervers , me fera bien plus mal.

L'endroit magique perd de sa splendeur sous le dur rappel de la réalité.

Il y'a de nombreuse fois où je me demande pourquoi je continue à me battre ?

À quoi cela sert de toute manière, je suis souillé par quartes hommes différent. On a anéantie mon nom, ainsi que ma vie et mes rêves.

À quoi bon continuer.

- Avery ? Murmure Tom d'une façon inaudible.

Je reprend mes esprits et tourne ma tête vers lui.

- oui ?

- j'ai cru que.. Non rien c'était stupide. Il répond en se passant une main sur le visage.

- On va jeter un coup d'œil à la tanière des petits reptiles, la bas. M'informe Bill en montrant un sentier.

- d'accord, je reste la avec Avery elle n'ai pas vraiment fan de ces bestioles. Les informes mon ex copain.

Ils acceptes puis s'éloignent vers l'endroit convoité.

Je repère un banc à côté du sentier, alors j'attrape Tom par la manche et le tire jusqu'au banc.

Je m'assoie et l'oblige à faire de même.

- avant, tu as cru que j'avais quoi ? Je demande curieuse.

Il se met à nerveusement mordiller sa lèvre inférieure en détournant le regard.

- Tom. Je réitère.

Cette fois ci il baisse totalement les yeux ainsi que la tête.

Je ne réfléchis pas à deux fois, et décide de prendre délicatement sa tête entre mes mains et de la relever à ma hauteur.

Ses yeux brillent d'une légère couche d'eau salé, presque invisible.

- Qu'est-ce tu as Tom ? Je lui demande directement en plantant mes yeux dans ses belles iris.

- je te connais comme un putain de poème Avery.. Je sais à quoi tu pensais avant, enfin du moins en partie. Il déballe.

Je fronce les sourcils légèrement dubitative. Je sais qu'il me connaissait bien. Mais j'ai changé, et lui aussi.

- tu pensais à Tyler, ou quelque chose qui s'en rapproche. Il dévoile.

Je raffermis ma prise sur lui sans lui faire mal évidemment.

Je pousse un lourd soupir, il ne faut pas qu'il se sente mal comme ça simplement parce que je vais mal.

Je rapproche ma tête de la sienne pour pouvoir coller mon front au sien. Nous fermons simultanément les yeux

- il faut que tu arrête de faire résonner mes états d'âme en toi Tom. Sinon jamais tu n'avanceras et cela pourrait te nuire. Je murmure en caressant sa joue de mon pouce droit.

- je ne le fait pas exprès Avery, je te le jure. C'est.. Simplement là, en moi comme une évidence.

Je ne comprends que trop bien son ressenti, car il fait écho au mien.

- je sais.. C'est pour ça qu'il faut qu'on s'éloigne physiquement, sinon on restera au point mort. Je lui explique.

- je n'aime pas être séparé de toi physiquement, car sinon j'ai l'impression qu'il manque quelque chose en moi. Il contre.

- oui.. Mais c'est mieux pour toi comme pour moi et tu le sais.

- peut-être mais je m'en fiche Avery. Honnêtement, j'ai besoin de toi et toi tu as besoin de moi.

- Tom.. C'est impossible je suis navré, tu vis à Los Angeles et moi à Magdebourg. Je répond en espérant le faire capituler une bonne fois pour toute.

- je sais.. Arrête de me le rappeler par pitié arrête. Il répond d'une voix cassée.

- le déni ne t'aidera pas, mais ta famille et tes amis eux si. Je lui chuchote en faisant référence à ce qu'il m'avait dit dans le van le jour où j'étais revenue au lycée après mon agression.

Son souffle se coupe, il se souvient également de ses paroles.

- Tu es Tom Kaulitz, ne l'oublie pas. Je poursuis.

- Je m'en fiche de qui je suis si tu n'es pas la pour compléter cet homme. Il siffle directement.

- et moi qui pensais que tu m'avais rayé de la carte, il va falloir que je redouble de persévérance pour que tu puisse enfin couper le fil.

Malgré moi cela me rassure qu'il en soit au même stade que moi.

- il me faut du temps..

- tu as eu cinq ans. Je réponds avec une légère amertume que je n'arrive pas à dissimuler.

- je sais, mais j'étais dans le flou sur ta situation, ta vie et même toi en général. Il m'explique légèrement honteux.

- oui c'est vrai, mais maintenant tu ma revue alors tu vas pouvoir avancer.

J'entends au loin ses amis parler signe qu'ils reviennent.

J'écarte mon front du sien, et je relève légèrement son bandana puis j'embrasse son front délicatement.

Il prend une grande inspiration légèrement tremblante.

Après ça nous nous éloignons et nous relevons.

Le groupe revient dans notre champ de vision, et kendall m'attrape directement par le bras pour m'expliquer ce qu'ils ont observés.

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Hello

Deuxième chapitre pour aujourd'hui, remerciez mes anticorps inexistant.

Et vous savez pas quoi ? Je suis retombé sur un autographe de M. pokora, que j'avais eu.

Jpp il faut que je vous raconte cette histoire.

Il y'a quelque années j'étais super fan de ce chanteur, et une fois je prenais le train et le contrôleur ou je sais pas qui à fait une annonce. En disant que m. Pokora était dans tel vagon, alors on pouvait aller ce faire signer un autographe et prendre une photo avec ce dernier.

Voilà, j'adore vous racontez ma vie.

La petite étoile !

XOXO

Telia