Chapitre 67: Moment Entre Meilleure Amie

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1 semaine plus tard...

Durant cette semaine nous n'avons rien fait, mis à part dormir et se rendre au poste de police pour déposer nos preuves et ouvrir une enquête.

Pour l'instant je suis allongée sur Tom entrain de somnoler. Ses doigts retrace ma colonne vertébral en me faisant des caresses très agréable.

- mon ange ?

- mmh?

- tu ne veux pas faire quelque chose d'un peu productif aujourd'hui ?

- non, je suis bien là.

- aller s'il te plaît !

- mais on a toute la vie Tomtom, qu'est-ce que tu viens me faire chier !

Il bascule au dessus de moi me surprenant par son geste soudain.

- je te fais chier ?

- c'était une façon de parler Tom. J'enroule mes jambes autour de sa taille pour le rapprocher de moi.

- je sais. Mais tu ne veux vraiment rien faire ?

- non.

Il souffle déçu.

- bon moi je vais manger avec les gars. Je vais rentrer vers 14h00.

- tu va me laisser toute seule. Je fais mine d'être vexée. Mais je suis contente pour lui, je sais qu'il aime bien se retrouver avec ses meilleurs amis.

- tu ne veux pas aller voir Kendall ? Ou faire du shopping avec les filles ? Je n'aime pas quand tu reste seule...

- je vais aller voir Kendall, mais d'abord tu me fais un bisou. Non plusieurs.

Il ricane mais approche son visage du mien et m'embrasse. Je glisse ma langue dans sa bouche.

Menthe et tabac froid.

Cela me donne des frissons.

Après un nombre incalculable de baisers il s'écarte, essoufflé.

- madame est satisfaite ?

- non, je veux un câlin.

- je vais être en retard.

Il s'écarte de moi et se relève. Puis il sort et va dans son dressing pour s'habiller.

Sans que je n'ai de réel contrôle les larmes montent et je me mets à pleurer.

Depuis que je suis enceinte, je suis devenue extrêmement émotive. Et ce n'est pas facile tous les jours...

Je pleure à grosses gouttes alors que Tom réapparaît vêtue de vêtements sombres comme à son habitude.

- Qu'est-ce que tu as ? Il demande en s'approchant.

Je me tourne pour être dos à lui, et continue de pleurer.

Je sens son poids sur le matelas. Puis il m'attrape et me ramène jusqu'à lui. Il m'oblige à me relever et je me retrouve face à lui. Je relève la tête pour pouvoir croiser son regard.

- aller mon ange, arrête de pleurer tu vas l'avoir ton câlin. Il rigole en séchant mes larmes de ses pouces.

Ses bras passent autour de ma taille, alors que les miens se replient sur son torse. Sa tête se pose sur mon crâne.

- plus jamais tu es méchant comme ça.

- mais je n'ai rien fait. Il se défend.

- justement.

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