Chapitre 62: Conversation Entre Amoureux

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Après avoir rassuré encore un peu Bill. Et qu'il m'est informé que Kendall était partie en ville, je rejoins Tom dans notre chambre.

Mon copain est allongé sur le dos en boxer sur le lit, le bras sur ses yeux pour les protéger de la lumière.

Je referme la porte, et m'avance vers lui. J'enlève mon pull et reste en brassière et jogging.

Je m'avance sur ce grand lit jusqu'à m'asseoir sur les hanches de Tom.

- Tom ?

- mmh?

- je peux te maquiller ?

- dans tes rêves.

- dans mes rêves je t'étrangle avec une chaussette...

- d'accord.

Après un temps il semble réalisé et enlève son bras pour pouvoir me regarder.

- attend quoi ?

- y'a un moment j'avais fait un rêve ou je t'étrangler avec une chaussette. Je réponds en haussant les épaules.

- tu n'est vraiment pas normal.

- non mais t'entends ça mon fils ? Ton père il m'insulte comme ça. Mais toi tu me défendra je le sais, t'inquiète pas ma petite crevette.

Je relève les yeux vers Tom qui me regarde comme si j'étais tira folle.

- pourquoi tu me regarde comme ça ?

- sans te vexer... Tu es sûr que vous n'êtes pas plusieurs dans ta tête ?

- oui. Par contre dans la tienne, il n'y a personne. Je réponds.

- je vais te balayer tu va voir.

- t'y compte vraiment violenter ta copine enceinte ?!

- tu as raison Calix est innocent, j'attends ton accouchement avant de te balayer.

Je lui donne une tape sur le torse.

- tu es vraiment trop méchant. Si tu continue je cherche un autre père pour mon fils et un notre copain qui sera gentil.

- c'est ça, tu m'aime beaucoup trop.

- ah oui c'est vrai...

Il rigole ce qui me fait sourire. J'aime beaucoup son rire.

Ses mains finissent par se poser sur mon ventre qu'ils caresse tout doucement avec ses pouces.

J'aurai beau le taquiner, je ne peux pas nier que Tom est vraiment très doux et attentionné. Je ne peux pas rêver mieux.

- je t'aime mon ange.

Les larmes me montent au yeux et sans contrôle elles coulent sur mes joues.

- hey, il ne faut pas pleurer. Il rigole légèrement en essuyant mes larmes.

- désolée, je ne sais pas ce qui m'a pris.

Et je m'effondre en sanglots dans ses bras.

- qu'est-ce que tu as ? Il me demande un peu inquiet.

- des hormones de grossesse.

- si ce n'est que ça.

Je me relève d'un coup.

- non mais je rêve, porte un gosse, subis les règles, et ensuite ressors moi cette phrase.

Il lève les mains en signe de paix.

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