Chapitre 2: Poste De Police

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- j'y vais, je suis convoqué au poste de police. J'informe mon patron alors que je termine de ranger les palettes.

- le poste à était incendier il y'a deux mois. Il contre.

- non,je vais à celui de Magdebourg.

Il se tourne vivement en entendant ma réponse.

C'est rare qu'un habitant de nos quartiers s'aventure dans  les grandes villes.

Nous ne correspondons pas ou plus au mode de vie des quartiers nord.

Je ne mange pas trois fois par jour, je ne vis pas dans de beau quartier, je pus la beuh et le tabac, je ne mets plus que des survêtements.

- pourquoi ? Tu as fait quelque chose ?

- ouais, je n'avais plus d'argent ni de nourriture, alors j'ai volé de l'argent à une jeune femme. Problème il y'avait des caméras de surveillance.

- tu risque de te prendre une amende.

Il ne me réprimande pas, car lui même a recours à ce genre de chose certaine fois pour pouvoir s'alimenter.

Lui mets la plupart de son argent dans la somme mensuelle que reçoit sa mère en prison.

Et moi, je mets le peu d'argent que j'ai dans mon traitement. Car à ma majorité mon traitement est devenir payant et non remboursé par la sécurité sociale, car je n'en ai plus. Alors mon maigre salaire de huit cent euro par mois ne suffit pas pour les trois euro de traitement, mes trois euro de loyer et enfin cent euro de dédommagement mensuelle pour les tokio hotel ainsi que Kendall.

Et ensuite mes cent dernier euro ne suffise pas pour m'alimenter tout un mois, alors je suis obligé de voler mais manque de chance, je me suis fait prendre.

- j'essaierais de m'arranger pour prendre la peine de prison. Vue ce que j'ai volé j'en aurais pour un mois maximum. Je le rassure.

- oui, fait ça. Tu me diras.

Je hoche la tête puis il me laisse partir.

Je sors de la supérette, la pluie tombe toujours. Je remet ma capuche toujours humide et marche jusqu'à à l'arrêt de bus.

Sous l'abri de bus, j'aperçois une vieille femme avec trois tiquer de bus en main.

Alors lorsque je passe devant elle je la bouscule de l'épaule. Elle laisse tomber ses tiquer au sol ainsi que son sac, je me baisse et ramasse ses tiquer ainsi que son sac, d'un coup de passe passe j'échange mon vieux tiquer avec un des siens.

- désolée madame, j'espère ne pas vous avoir blessée ? Je demande en lui rendent ses affaires.

Elle secoue négativement la tête puis me fait un petit sourire. Je réponds de la même manière.

Je m'éloigne et regarde mon nouveau tiquer, tout neuf j'ai désormais cinq voyage en bus.

Le bus arrive je monte dedans passe mon tiquer et vais m'asseoir.

Je soupire pas vraiment fière d'avoir encore du passer par l'illégalité pour simplement prendre le bus.

Au bout d'une vingtaine de minutes, je descends.

Je me retrouve sur la grande place face à mon ancien lycée, constance billard un long frisson me secoue alors que je traverse la place.

Certaines personnes abriter sous des parapluies ou sous des bâtiments me regarde comme si j'étais folle. Ce n'est pas totalement faux car rare sont les gens qui marche sous la pluie en un rude mois de novembre.

FAME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant