Un homme.🔞🔞🔞

6 4 5
                                    


Je lui fait  traverser le parking au pas de course.
Il conduit. J’ ai goûté son bloody mecs, un bloody mary bien épicé, son copacabana ( armagnac, cointreau, jus d’ abricot ) son bourbon… pas plus, suffisamment.

Il commence à refaire sa tresse, je la termine.

Enthousiaste, il refait la soirée. J’ ai envie. J’ en peux plus. Je ne vais pas tenir une demi heure.

– Prends ce chemin, à gauche. Arrêtes toi
Il m'obéit

Rien à faire du consentement. Je fond sur sa bouche en grommelant, tu peux dire non.

– Non

Je bloque ma frustration en me reculant.

– Non, je ne dirais pas non.

Petit con ! Il ne perd rien pour attendre.
Putain de levier de frein à main  qui me rentre dans les côtes.

Urgences ! Déboucler sa ceinture, Debleu, je me perds dans les couches de son pantalon vintage , double patte de boutonnage, boutons, crochets…mais il l’ a fait exprès ? Slip kangourou. Je cherche mon chemin .
Il ricane…

– Petit con.

– Tu as un peu trop picolé
.
– Et toi un peu trop fait tourner ton petit cul !

– Putain de merde !

Je viens de me cogner le genou dans le vide poche, et en parlant de poche, j’ aimerai bien ouvrir la sienne.

– voilà je te tiens !

Son mini moi pleure de joie et il pousse un petit gémissement aigü.  Fichtre ! Un vrai !
Envie de l’ embrasser.

– Aieu…

La totale en voulant me tourner. Levier de vitesse, plafond et tableau de bord !

– Tu ne pourrais pas changer de bagnole ?

– Jusqu’à maintenant, je n’ ai jamais eu de problèmes

Il se fout de moi ? Ouais, il explose de rire.

Je n’ ai jamais compris pourquoi il gardait la minuscule clio d’ Alfred.

– On rentre à la maison ?

Je m’ enfonce dans mon siège sans rien lâcher.

– Oups, j’ai besoin d’un minimum de concentration pour conduire. Change de main,

Les témoins du tableau de bord l'éclaire d’une vague lueur verdâtre.  Voir ma main prendre de nouveau possession de son entrejambe m’ électrise. Je ferme les yeux en grognant de frustration, j’ entends des froissements de tissus.

J’ouvre mes mirettes puis les referment presque  aussitôt.
Il est trop sexy , débraillé, chemise ouverte, pantalon dégrafé, je n’ ai jamais autant apprécié une boucle de ceinture défaite, il ose passer sa langue sur ses lèvres.

– Vas y ! Allume moi un peu plus ! Ton petit cul va s’ en souvenir.

Il se fige, ben oui, ya que les cons qu’y change pas d'idées.

– Stoooppp ! On va chez moi .

– Les petits .

– Quoi les petits ? Ils dorment et ils sauront où nous trouver.

L’ arracher à son siège, le plaquer contre la porte.
Pousser mon bassin contre son derrière. Envie.

Je faufile mes mains sous l’ élastique de son sous-vêtement pour prendre appui dans les plis de l’ aine, tout en mordillant son cou.
Je voudrais avoir des dizaines de mains pour prendre possession de lui. Lorsqu’il a la bonne inclinaison, le bon écartement,  brutal, je m’ empare d’un téton.

SortirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant