Par mrscage
New York
Mon amour, ma chérie, ma raison de vivre, mon doux amour, mon cœur...
Comment ai-je pu te laisser là ? Comment ai-je pu ? Comment m'as-tu fait partir ? Et comment est-ce que je t'ai écouté encore une fois ? Après cette nuit...
Lorsque je j'étais sur scène et que je t'ai vu avec Albert assis au premier rand, mon cœur a sauté comme s'il voulait sortir de mon corps, j'étais sur que j'allais mourir... Tu sais je regardais derrière les rideaux si vous étiez la ou pas. Tu ne peux pas imaginer ma tristesse lorsque j'ai vu que deux sièges devant étaient vides, et que la pièce commençait. Je pouvais voir tout le public, le théâtre était peut être plein, mais vous n'étiez pas là et je ne pouvais pas lâcher les deux sièges vides des yeux. J'ai joué le premier acte comme dans un rêve, récitant mes lignes sans émotion et sans aucune passion... Je me sentais vide comme ces deux sièges... Ensuite pour le deuxième acte, vous étiez là, Albert et toi ! Oh mon Dieu ! Tu étais si belle. Tu étais en retard ! Je le savais, je la savais que tu viendrais. Tu m'avais écrit que tu viendrais, et tu es venue... Je n'ai joué que pour toi sur scène, mes yeux ne voyaient que toi.
Lorsque tu es venue dans ma loge avec Albert, j'étais tellement jaloux, il te tenait par la taille et vous souriez tous les deux sans rien dire. Il se passait de centaines de chose dans ma tête pendant ce moment et Albert me serra la main et il m'a félicité pour mon talent et ensuite il a dit qu'il avait des choses à faire. Je sais qu'il a fait ça pour nous laisser seul. Est-ce que tu regrette ce qui s'est passé après ? Pas moi ! Oh mon Dieu, comment ai-je pu te laisser partir après cette nuit ? Comment ai-je pu ?
Tu te souviens la première chose que tu as dite lorsqu'Albert est parti ? « Tu m'as manqué... » Jamais je n'oublierais ça. Tu n'as même pas essayé d'être polie, de me féliciter pour la pièce ou dit quelques paroles de salutations inutiles... Tu as tout simplement dis que je te manquais ! Et la seconde d'après, tu étais dans mes bras ! Mon amour était dans mes bras... Je devais peut être t'amener dîner, ou prendre l'air, mais je ne voulais te lâcher. C'était si bon, si juste, toi et moi... Je ne regrette pas ce qui s'est passé ensuite non plus, les plus belles heures de ma vie étaient lorsque tu étais dans mes bras... En tant que gentleman, je ne devrais pas parler de cette nuit, je ne devrais pas t'en parler non plus... Ce que nous avons vécu était magique. Tu m'as donné le temps le plus heureux de ma vie.
Mais comment ai-je pu être aussi stupide ? Comment ai-je pu te laisser après ça ? Comment as-tu pu me convaincre le matin ? Tu pleurais sur mon épaule et tu m'as dit que Susanna avait besoin de moi plus que toi, qu'elle était malade...Que notre nuit d'amour soit le plus beau souvenir entre nous, après tout ces sentiments que nous ne pouvions exprimer depuis des années, mais que nous ne devrions pas recommencer... et tu as réussi à me convaincre encore une fois que la bonne chose a faire était de retourner chez elle ! Je n'aurai jamais du te dire que tu étais malade... Tu t'es sacrifié et j'ai été stupide. Pourquoi est-ce que je commets toujours la même erreur ? Je ne sais pas comment tu le fais, mais des que tu dis quelque chose, je ne peux qu'obéir... Et maintenant tu ne peux pas imaginer combien je regrette d'être revenu ici...
Après cette nuit, rien ne peut plus être comme avant Candy ! Nous ne pouvons plus être rien que des amis qui s'écrivent des lettres ! Je vais parler à Susanna, je vais faire de mon mieux pour lui trouver les meilleurs docteurs, mais je vais te revenir. S'il te plaît, attends-moi. Je viendrai te chercher Candy. Je te le jure, même si c'est la dernière chose que je fais, je viendrais te chercher ! Je serai là...
Je t'aime plus que ma vie, je t'aime tellement que j'ai accepté de revenir dans cet enfer mais je rendrai notre vie le paradis. Je viendrai te chercher !
Terry
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Ne m'oublie jamais...
FanfictionAprès leur rupture, Candy et Terry se mettent à correspondre...J'ai écrit cette fic avec mon amie mrscare, du moins le debut. C'est une histoire épistolaire...