63. Andy

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Quand je me reveille il est plus de midi d'après mon horloge parlante. Je souris en sentant la présence de Max dans mes draps. Il n'est pas parti. J'avais peur qu'il parte finalement en cours. Lui dort encore. On était vraiment claqués tout les deux.
Je me ralonge dans les draps chaud, profitant encore un peu de ce moment. La respiration de Max est calme. Il dégage une chaleur douce et réconfortante. J'approche mes doigts de lui. Je touche sa peau. Comment peut-elle être si douce.
J'hésite un moment à me lever pour préparer à manger pour quand il se réveillera. Je choisi de rester.
Je pose ma mains sur son ventre et remonte sur ses pectoraux. Je songe à notre éloignement de ses dernier temps, j'ai l'impression que ça fait une éternité que je ne l'ai pas touché.
Il bouge et change de position, m'exposant son dos. Je pose mes mains sur son dos alors et commence à explorer ses muscles me rappelant de leur forme au fur et à mesure.
Son corps.
Je soufle dans ses cheveux. L'odeur de sa tignasse de parvient alors. Ça sent Max, et son shampoing. Je souris.
Au bout d'un moment Max remue et commence a faire de petit bruits : il va se réveiller. Mon intuition ne me trompe pas, il dit mon nom et se blottis dans mes bras. J'embrasse alors sa tête. Il grogne :
- J'ai faim...
Je souris et me soulève légèrement :
- Je vais vite preparer à manger dans ce cas.
- ... de toi, il fini.
Je ris.
- La seconde faim pourra attendre, il complète.
Je me ralonge alors.
- Bien dormis, je demande.
- Oui, comme jamais, et toi ?
- J'ai bien récupéré je dois avouer.
- Alors tu n'es plus fatigué, demande Max en replaçant sa main proche de l'élastique de mon caleçon.
- Non, plus fatigué, je reponds en riant sans l'en empêcher cette fois-ci.
Sa mains glisse sous le tissus, un frisson me secoue de part en part.
- Wow, tu va vite en besogne, je chuchotte soudain.
- Oh ! Désolé, il s'excuse en retirant sa main.
- Non ! C'est... c'est bien, c'est juste surprenant. Mais j'aime quand tu es entreprenant.
Je chuchotte ensuite :
- Ne, ne t'arrête pas.
Max se rapproche alors de moi et pose ses mains sur ma peau. Il veux me sentir. Je fait de même alors, je carresse ses bras, sentant ses poils se plier sous mes doigts. Je carresse ses poingets pour l'encourrager à poursuivre ce contact.
Je passe ma main dans mes cheveux pour replacer une mèche qui me chatouillait le visage. Max s'arrête alors.
- Mince, t'es trop beau.
Il m'embrasse et me grimpe dessu. Il ne lâche plus mes lèvres. J'ai l'impression d'avoir reveillé la bête. Je pose mes mains sur ses hanches et carresse doucement sa peau dans l'espoir qu'il se calme un peu. Il fini par lâcher mes lèvres et prend mon menton entre ses doigts. Il fait pivoter ma tête comme pour examiner mon visage. Une fois de profil il se rapproche, attrape le lobe de mon oreille avec ses lèvres et commence à le suçauter. Un frison me parcours, et une décharge de je ne sais quelle hormone à lieu. Je carresse alors ses hanches et le veux tout à moi. Il fini par lâcher mon oreille et j'attrape alors ses lèvres. Mon coeur et le sien battent fort à l'unisson. Je le retourne pour prendre le dessu à 4 pattes plus haut que lui. Il enroule alors ses jambe et ses bras autour de mon corps. J'embrasse son cou et y laisse ma trace sur sa peau. Je le serre fort dans mes bras, me reposant sur lui, me jurrant de ne jamais le laiser partir. J'embrasse alors sa peau sur tout son corps, ses bras, ses jambes, sa tête. Il fait de même, serrant ma peau contre la sienne.
- Max...
- Sois à moi Andy, il souffle lui aussi avide de mon corps.
- Je suis à toi : je suis dingue de toi, je murmure a bout de soufle.
- Alors je suis à toi aussi.
Je l'entoure de mes bras. Il fait de même. Puis je m'éloigne un peu pour enlever mon caleçon et lui retirer le sien. On colle nos bassin. Sentir nos peaux, parfaitement collés l'une à l'autre nous calme un peu, satisfaits. On ne fait presque qu'un. Je me blotti dans son cou.
Mais Max ne semble pas rassasié. Il glisse sa main entre nous, saisi mon membre et commence à faire des mouvement de vas et vien déjà très rapide. La sensation m'envahit et je reste inerte incapable de bouger, tetanisé par le plaisir qui monte. Max me renverse alors, se met au dessus de moi lui facilitant la tache. Il augmente alors la cadence et fait de même sur son propre sexe.
Je viens finalement rapidement suivit de Max. Il s'effondre sur moi grogne essouflé : - C'est terrible : j'ai encore envie de toi.
Je ris doucement, calmé par les endorfines du plaisir.
- Alors il est peut être temps..., je pense à voix haute.
- Temps de quoi ?
Je tousse pour d'éclaircir la voix.
- Que ce sois à ton tour d'être en moi.
Un silence.
- Je crois que je ne saurais pas faire, il chuchotte tout bas.
- Bien sur que si. Tu as envie d'essayer ?
- Oui, mais...
- Ne t'en fait pas, il n'y a rien de particulier à ça tu sais.
- J'aurais peur de te faire mal.
- Tu ne me fera pas mal.
Un silence puis :
- Comment tu peux en être sûr ?
- Ok alors on va faire ça bien.
Je m'assied sur le lit, pas très sûr de moi. Je ne veux pas tout gâcher en le mettant mal à l'aise.
- Comment ça, il demande.
Je me lève ouvre un tiroir et fouille dans le fond jusqu'à y trouver les objet que je cherche et de les poser sur le lit.
- Qu'es-ce que c'est ? Me demande Max.
Je prends un grande inspiration, je suis pas du tout sûr de moi.
- Eh bien... c'est une capote et un plug anal.
- Ah oui d'accord... "faire ça bien"...
- Je sais que ça peux sembler un peu artificiel, même à moi, et on peux faire sans si tu préfère, mais je me suis dit que ça te rassurerais mais je me suis peut-être trompé...
- Non, je... je veux bien essayer.
- T'es sûr ?
- Oui, j'en ai envie.
- Super, je lui souris pour le détendre un peu.
Je l'entend sourire aussi, un peu gené.
- Alors comment on fait ? Il me demande.
- Justement, tout l'intérêt de ce truc c'est que tu n'a rien à faire, je lui répond.
- Mais comment...
Je lui repond en faisant. Je prend le plug et l'insert en moi.
- Et maintenant ?
- Et maintenant on reprend, je réponds avant de l'embrasser.
J'attrape son sexe et le stimule à mon tour. Max se laisse faire, d'accord pour se laiser guider. Je le fais s'allonger sans interrompre les vas et vien ni lâcher ses lèvres.
Concient qu'il va me faloir un peu de temps pour me détendre je gagne du temps en decendant le long de son corps jusqu'à saisir son sexe en bouche. Je carresse ses hanches en même temps que je le suce et quand je le sens venir à nouveau je retire ma bouche pour faire une place à mes mains qui prenent le relais. Il jouit en gémissant. Je lui laisse un instant avant de lui demander s'il en à toujours envie.
- Oui.
Cette fois c'est sûr, sa voix est assurée. Je récupère alors le préservatif, l'ouvre et le met correctement. Puis je retire le plug et me rapproche de son torse. Je l'embrasse tout en rentrant son sexe en moi. Des gemissement s'échappent de sa bouche... puis de la mienne quand je commence à soulever mon bassin. Je sens que Max en retient certains. Il meserre contre son torse ce qui me donne du mal à bouger plus bas mais je ne veux pas quiter ce contact pour autant et je reste collé contre sa peau, mains sur ses hanches.
Chacun de ses gemisements me ravissent les oreilles, mais il se retient trop a mon goût.
- Laisse les sortir, je veux t'entendre. Je chuchotte.
- Mais les voisins, il souffle difficilement.
- Tout le monde travail à l'heure qu'il est.
Alors Max accepte et laisse échapper des soupirs bruyants. Sa voix varie sous les sentations et ses gemisements attisent les miens. Très vite on soupire autant l'un que l'autre. Je veux plus pour lui, je veux qu'il n'en puisse plus de bien être. Je me soulève, m'écartant un peu de lui. Un de ses gémissement prend des notes de frustration, mais très vite, mes mouvements, plus précis et importants, le font gemir plus intensément. J'attrape alors mon sexe et l'accompagne dans son plaisir. Sans attendre je jouis, d'abord par l'arrière, puis par l'avant et je suis rapidement suivis de Max qui atteint le point culminant dans un gemisement plus aiguë et plus long.
Une fois finis, vidés de nos forces je m'alonge sur Max et écoute son rythme cardiaque redescendre lentement, en même temps que le mien.

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Salut salut, hum... desolé pour ses 2 - 3 semaines d'inactivité, ça risque malheureusement de se reproduire vu l'aproche des exams. Donc voila, 2 chapitres et 1200 mots de lemon pour me faire pardonner.

Les Yeux Bleus de l'Aveugle du troisièmeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant