32. Andy

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Je suis dans les bras de Max. J'ai bien désaouler, mais je feint le contraire pour profiter de sa tendresse.

- Tu veux un peu d'eau, il me demande tout bas.

- Non, reste là.

On est allé dans ma chambre après le repas, alors que les adultes commençaient à avoir des discutions barbantes. Je me suis allongé et l'ai tiré sur moi pour l'avoir dans mes bras.

Quelle journée !

J'attrape ses lèvres. Il me les donne. Je faufile ma langue, il me donne la sienne. Je joue avec un moment avant de me lasser et d'attraper ses cheveux. Je le sens se contracter.

- Andy, je pense pas que ce soit une bonne idée de t'agiter dans ton état.

J'ouvre les yeux et les fixe dans sa direction.

- Je ne suis pas saoul Max.

- Hein ? Mais ?! Et ... !

Je le retourne pour le faire passer sous moi, ses mains plaqués au matelas.

- C'était un prétexte pour t'avoir tout à moi, je répond avant de reprendre ses lèvres.

J'approfondis notre baisser et je sens sa langue chercher la mienne. J'ai toujours les mains sur ses poignets plaqués sur mon matelas. Je l'imagine sous moi comme ça, avec les souvenirs que j'ai de son corps. Je frisonne alors que la place dans mon pantalon se réduit.

Lui tend son cou pour chercher plus profondément ma langue, cherchant à me dévorer. Je réponds à ses assauts, ayant aussi l'envie de le dévorer. L'insatisfaction arrive et je serre ses petits poignets. Sous mon emprise il pousse un petit gémissement étouffé par nos bouches, puis cherche encore à approfondir notre baiser, lui aussi tiraillé par l'envie de plus. Je lâche sa bouche un instant.

- Si tu gémit encore je vais plus pouvoir m'arrêter, je soufle.

- Et si j'ai pas envie que tu t'arrêtes ?

J'imagine ses yeux plongés dans les miens.

À cet instant je ne réfléchi plus, je me jette sur son cou et le dévore. Lui se tend sous moi, étend son cou pour mieux me laisser faire et gémit encore.

Alors je lâche ses poignets, et lui attrape immédiatement ma nuque, et passe ses mains agités dans mes cheveux à la recherche d'un peu de satisfaction. J'attrape ses hanches et les caresse, léchant son ventre. Il se tortille, parcouru de frisons provoqués par ma langue. Son bassin s'agite en même temps que le mien.

- Ce n'est pas trop tôt ?, je lui demande, à bout de souffle.

Il secoue la tête me suppliant de ses mains agités de continuer.

Alors je remonte mes mains le long de ses côtés, entraînant le t-shirt. Il sort de lui même sa tête du vêtement, me laissant tout le loisir de toucher son corps. Alors je pose mes mains sur ses épaules puis descend au pectoraux, puis au abdos et glisse sur ses hanches. Lui se tortille sous mes caresses, étouffant ses gémissements. Je redescend mes mains sur son pantalon et les glissent le long de la ceinture. Mes doigt frôlent sa peau, le pauvre déborde d'envie, ses coups de reins sont plus insistants et ses gémissement plus réguliers. Je déboutone son jean sur un ultime mouvement de bassin et descend son pantalon sur ses jambes. Sans prévenir, j'attrape son sexe chaud, lui arrachant un gémissement qu'il ne parvient pas à étouffer ( mais couvert par les discussions de l'autre piece), augmentant mon excitation.
Je commence des mouvements de vas-et-viens, la respiration de Max se coupe, il s'arc-boute.

- Andy... , il souffle dans un soupire.

J'accélère un peu, augmentant surtout la pression de mes lèvres sur son membre. Son souffle se coupe alors qu'il essayait de reprendre inspiration, et tout son corps se contracte. Il souffle quelque chose d'incompréhensible. Je retire ma bouche à contre coeur et récupère dans ma main son liquide chaud. Son corps se détend. J'attrape un paquet de mouchoir alors que Max profite de son extase.

Une fois ma main propre au possible, je m'allonge à son côté. Il enlève ses chaussures et termine de retirer son pentalon avant de se glisser dans mes draps. Puis il m'attire à lui, retire doucement mes vêtements, ne me laissant rien. Je me laisse faire. Il me glisse sous les draps.
Je me serrai bien endormi là à ses côtés, nu.
Il colle son corps contre le mien. Tout deux alongés sur le côté. Je me sens dévoilé, mon sexe contre sa hanche. Il pose sa main dessu et je sursaute, surpris.

- Max, t'es pas obligé, je souffle.

- Chuuuu.

Il me saisit fermement et remonte sa main, jusqu'à mon gland, puis il redescend. Je souffle de bien-être et me détend un peu. Je passe ma jambe au dessu de lui sur sa côte et il continue les vas et viens. De plus en plus vite...

- Max... je souffle, exprimant mon contentement.

Il accélère d'autant plus, me clouant le bec et me coupant le souffle. Je pousse ma tête en arrière. Max dépose un coup de langue sur mon cou. La tension augmente encore d'un cran. Je passe une mains dans ses cheveux. Je sens son sexe à nouveau tendu contre ma cuisse.
Il resserre sa main. S'en est trop, je ne peux plus me retenir. Je vais jouir. Je déverse mon plaisir. Ma tension s'évacue mon corps se tends et une chaleur me parcourt le corps.
Puis je me détend. Max a seulement le temps d'attraper mon paquet de mouchoir avant que je sombre dans le sommeil complètement sonné par autant de plaisir.

Les Yeux Bleus de l'Aveugle du troisièmeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant