31 - dix-huit tickets

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Coucou ! Comment ça va ? On est reparti pour une nouvelle semaine enfermés.

J'essaye de pas trop vous faire attendre entre les chapitres, mais étant donné que j'ai déjà écris le prochain "gros" qui doit arriver, j'essaye de m'appliquer pour vous y amener correctement.

Je pense qu'il y a trop de dialogue, mais j'aime bien, ça donne un petit air vivant.

Je vais pas blablater des heures, je vous laisse lire tranquillou, comme d'habitude plein de bisous !

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18 avril

SKY

Alors qu'une odeur de pain grillé s'évadait de l'appartement, j'ouvrais les yeux.

J'eu la surprise de me réveiller dans le lit d'Hakim, avant de me souvenir que j'avais effectivement dû m'endormir dans le canapé collée à lui.

Je repoussais la couette avant de me lever.

L'aîné Akrour dans la cuisine était en train de faire cuire ce qui me semblait être des oeufs, et le grille pain était en marche, comme je l'avais senti.

- Bonjour, je soufflais en trainant les pieds jusqu'à lui.

Il se retournait et me souriait légèrement.

- Ça fait du bien de dormir ?

J'acquiesçais.

Je ne sais pas si c'était sa présence ou ma fatigue grandissante, mais j'avais vraiment bien dormi.

Je m'installais à table alors qu'il déposait deux assiettes remplies.

- C'est rare que tu fasses le petit déjeuner, je remarquais.

- J'ai besoin de me faire pardonner.

On discutait tout en mangeant.

La soirée chez Théo était prévue pour vingt-et-une heures ce soir, ce qui me laissait largement le temps de faire ce que j'avais besoin aujourd'hui.

- Tu peux me déposer à l'Opéra Haks ? Demandais-je une fois le repas fini et ma douche prise.

Hakim me donnait son accord, et on montait dans la voiture.

- T'as eu des nouvelles de Fram ? Je commence à m'inquiéter, je dis.

- Non. Il est sûrement parti chez une go, tranquille.

Je savais que ça n'était qu'un façade, et que lui aussi n'était pas forcément rassuré de ne pas avoir de nouvelles de son frère.

Est-ce que c'était parce qu'Idriss était énervé contre lui ?

J'envoyais quand même un message pour vérifier.

- À quelle heure je te reprends ?

- Pas la peine, je rentrerais en fin d'après-midi.

Je lui fis un bisou, avant d'ouvrir la porte.

- Tu fais attention, et tu m'appelles si tu as un problème.

- Je sais Haks, à tout à l'heure.

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J'étais dans l'atelier, mon costume enfilé, une des couturières en train de pincer les dernières pinces pour finir les coutures.

J'étais en plein rêve, mon bustier blanc et mon long tutu.

Qu'est ce que j'avais hâte de le revêtir et de monter sur scène.

- C'est la première ?

Je hochais la tête.

- C'est toujours spécial. Tu peux pas garder le costume, alors garde tes chaussons.

Pour Ses Beaux YeuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant