40 - J'ai déconné j'aurais pas dû

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Bonjour tout le mooooooonde ! Il est cinq heures, vous dormez, je sais !

Comment ça va depuis hier ? Ouais j'ai pas tenu ma pause, trop inspirée pour arrêter.

Moi toujours en manque de sommeil du coup, mais toujours contente de vous retrouver !

Voici le chapitre tant attendu avec le point de vue d'Hakim ! Je préviens par avance que le chapitre suivant, le 41 donc, portera exactement sur les mêmes événements mais du point de vue de Sky ( vous allez comprendre pourquoi ). Ça devrait sortir ce soir, parce qu'en soit c'est juste de la réécriture.

Mais revenons à celui-ci.

Il est long, parce que toute la première partie c'est en soit des trucs que vous savez déjà mais que je me voyais pas ne pas dire du point de vue d'Hakim.

Je vous le dit aussi, j'ai écris comme si c'était un gros fragile, je sais, mais en même temps il a vraiment aucune raison de faire le malin là.

Je suis désolée d'avance, au vue des retours que j'ai eu depuis quelques chapitres, je sais que certains d'entre vous vont pleurer comme moi ( ou alors je suis une grosse fragile, ce qui est possible aussi ) pas très cool comme réveil.

J'ai vraiment essayé de retranscrire le plus d'émotions possible donc j'espère que vous allez les ressentir.

Bonne lecture, ne détestez pas trop le Mékra, il m'a dit qu'il s'en voulait

Bisous !

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5 avril

HAKIM

Je vais l'annoncer directement une bonne fois pour toute, je suis un gros con.

Ça c'est fait, c'est dit, je le sais.

J'avais sûrement commencer à regretter à la seconde où je lui avais craché que j'espérais qu'elle ait besoin d'un médecin ou qu'elle  se fasse violer.

Je lui avais même pas laissé la possibilité de s'exprimer, et j'avais directement utilisé sa pire faiblesse contre elle gratuitement, avant de balancer un truc complètement faux. Je deviendrais fou si on la touchait.

Mais même si je m'en voulais déjà un peu à ce moment là, j'ai seulement compris que c'était sa daronne qui avait mytho quand elle avait quitté l'appartement, son sac sur le dos.

Je m'étais immédiatement sévèrement embrouillé avec mon reuf, qui s'était rangé du côté de la gamine.

Je saurais pas expliquer pourquoi j'avais pas cru Sky sur le coup.

Et je saurais pas non plus dire pourquoi je l'avais pas directement rattrapée.

Je pense que je m'attendais tellement à être déçu à un moment donné que j'avais pas chercher à comprendre, en me disant que même si ça faisait mal maintenant, plus je laisserais le temps passer, plus je serais attaché et plus ça ferait mal de la perdre.

Mais maintenant que j'étais le plus gros connard de la terre à ses yeux, je réalisais à quelle point cette pensée était stupide.

Je regrettais chaque moment avec elle, sachant qu'à cause de moi, on en aurait plus jamais d'autres.

J'ai commencé à regretter le jour de l'anniversaire de mon reuf, quand j'avais trouvé sa clé posée sur le bar de la cuisine. Ça m'avait foutu la haine, et je l'avais remise dans sa chambre directement.

Ce soir là quand elle est arrivée, j'avais tellement la rage de la voir rigoler avec la meuf de Bigo comme si tout allait bien que je l'avais ignorée, alors que je méritais de ressentir tout ce seum.

Pour Ses Beaux YeuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant