30: l'importance des dou'as pour le mort

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Moi: Alya tu en veux? Dis je en lui tendant les madeleines.
Elle: wiwi
Moi: mais je t'offre rien.
Elle: wesh t'es sérieuse meuf.
Moi: très ma belle.
Elle': je suis pas ta belle.
Moi: sisi t'es ma bébiche d'amour😂😂😂
Elle: laisse mon tranquille. Dit elle en boudant.

A un moment on sentis un regard sur nous. Je lève mes yeux et je vois que c'est des  grands mères pas trop vieille en fait. Elle ont vers les 30/40ans.

Moi: Bonjour!
L'une des femmes prend la parole.
Elle:vous nous donnez vos place.

J'allais me levez mais je me rasseois immédiatement. Je la regarde et elle était choquée et je laisse un petit sourire.
Alya: tu t'es rassise sinon je l'aurais fait à ta place.
Moi: déjà elles répondent pas aux salutations et même pas un s'il vous plaît.
Alya: wallay!
Moi: prends en! Dis en lui donnant vraiment les bonbons.
Alya: merci.

L'une des femmes: que vous êtes ingrates. En plus vous faites comme si on était pas là.
Moi: Alya je dois te dire quelque chose d'important.
Elle: hum! C'est quoi?
Moi: Idrissa m'a largué.
Elle: quoii???
Moi: ce matin avant de venir c'est pourquoi je suis venues en retard.
Elle: ah non mais je vais lui coller son caleçon à la figure le bâtard.

En passant les femmes continuaient toujours de gueuler et nous mangeait tranquille.

Moi: il dit qu'il ne m'aime plus.
Elle: bah ce con vas essayer de t'aimer car là ohlala il a touché ma sensibilité.
Moi: mais c'est pas de sa faute, il ne veut plus de cette relation.
Elle: tu l'aimes toujours bb?
Moi: bien sûr, j'aurais vraiment du mal à l'oublier.
Elle: tu trouveras quelqu'un de mieux inshallah. C'était juste pas le bon.
Moi: oui!
Elle: je le desteste trop.

Puis elle enfoui sa tête dans mon cou.
Elle: c'est tellement désolant. En fait, c'est décidé j'arrête de michtoner et je lâche tout mes mecs.
Moi: c'est mieux!
Elle: je déteste Idrissa.
Moi: on ne déteste pas une personne.
Elle: je déteste Idrissa.  Dit elle cette fois ci avec trop de haine.

Je lui masse la tête et elle tient fermement ma main.
Moi: t'inquiéte pas je peux gérer.
Elle: je t'aime et peur de te perdre et qui ose te faire du mal aura à faire à moi.
Moi: je t'aime encore plus soy (soeur)

On descend à notre arrêt et les deux femmes s'assoient. En tout cas, elles nous on bien insulter.

Elle: on régle une bonne fois pour toute les billets pour maman et tante.
Moi: oui t'as raison mais on est Dimanche, ils ouvrent?
Elle: bien sûr!
Moi: attend, Jamil m'avait donné de l'argent pour toi.
Elle: pourquoi?
Moi: ton salaire.
Elle: mon salaire? Il m'a déjà payé.
Moi: bah en tout cas il m'a donné.
Elle: jour de chance allez donne, soit il est gentil soit il a oublié.
Moi: peut être qu'il te l'a donné car on oublis pas  ça.
Elle: il est gentil le mec. On y va?
Moi: oui allons y.

Pdv de Jamil.

J'arrive à la maison et vois papa, maman, Jamal, Fatima et tante Astel. Fatima et Jamal parlaient de l'autre côté un peu plus loin et les autres dans le salon.

Moi: Bonjour!

Eux: Bonjour.
Papa: t'étais où Jamil?
Moi: je déposais Jamila.
Papa: hum c'est une bonne chose.
Astel: bonne chose? Où étiez vous allez? Cette fille n'est pas une bonne personne.
Maman: pourquoi t'es comme ça?
Astel: toi Khady ne me parle pas, tu n'as jamais été gentille.
Moi: parle pas comme ça de ma mère.
Papa: ça suffit! Jamil t'as bien fais de l'a déposer.

Jamal se retourne et viens vers nous.
Lui: déposé qui?
Moi: Jamila!
Jamal: elle est sortis?
Moi: oui
Jamal : ou est elle?
Moi: bah au marché.
Jamal: putain!
Maman: t'as quoi mon fils.
Jamal: non rien, je vais dans ma chambre.

Ce Fut mon Destin! Où les histoires vivent. Découvrez maintenant