Je m'appelle June Wilson, j'ai dix-sept ans et je suis atteinte d'agoraphobie. Cette maladie s'est développée après le suicide de mon frère jumeau, Dane, il y a maintenant plus de deux ans.
Cette histoire va vous raconter comment ma vie a pu change...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
♡♡♡
———————————————————
✎ ✎ ✎
...De plus, à cette heure-ci, les rues de Saint Tropez sont vides. Personne ayant la capacité de me sortir de ce piétrain ne se trouve à l'horizon. Je me retrouve donc seule, face à lui et ses idées perverses...
✎ ✎ ✎
June, 04/09/20, 08:24 pm.
Cela fait actuellement dix-huit minutes que je cours sans m'arrêter, mais rien y fait, ce mec me poursuit encore et toujours. Je commence réellement à croire que je devrais m'arrêter et le laisser faire ce qu'il a a faire.
Ce serai sans doute la meilleure solution pour mettre fin à cette course poursuite à laquelle je fait face actuellement. Et je sais très bien que rien ne sert de me débattre; de toute façon, c'est fichu d'avance.
De plus, nous arrivons à l'endroit que je redoute le plus dans Saint Tropez. Les petites ruelles sombres, qui abrites très souvent d'autres psychopathes comme lui même.
Et c'est à ce moment là qu'une décision doit être prise :
- S'arrêter et ce laisser faire par ce sale type , ou bien - Continuer de courir en espérant lui échapper, ou au pire, atterrir dans une de ses ruelles sans éclairage et prendre le risque d'empirer mon sort.
Hum, à vrai dire, je ne suis pas du genre à baisser les bras aussi rapidement alors, je choisit la deuxième option. Dans tout les cas, soit je suis sauvé grâce à cette course folle, soit le pire m'arrivera sans doute. Mais, de toute évidence, je ne préfère pas penser au pire.
Je continue donc de courir à folle allure jusqu'au moment où je me fit stoppé dans mon élan par une main, sortie de nul part, qui m'a tiré de cette grande rue, pour m'emmener dans une de ces ruelles.
Je me débat comme je le peux mais rien y fait, de toute évidence, cette personne est beaucoup plus forte que moi. Elle réussit donc assez facilement à m'emmener là-bas.
Une fois à l'intérieur de celle-ci, je crie, de toutes mes forces, dans le but que quelqu'un vienne m'aider à sortir de là mais je me fit rapidement stoppé par cette même personne qui est venue positionné sa main sur ma bouche, essayant au mieux de camoufler mes cris.
C'est d'ailleurs à ce moment là que je me rends malheureusement compte de la gravité de la situation. Personne n'allait pouvoir me sortir de là, ni même appeler la police. C'était donc trop tard pour moi.
