Je m'appelle June Wilson, j'ai dix-sept ans et je suis atteinte d'agoraphobie. Cette maladie s'est développée après le suicide de mon frère jumeau, Dane, il y a maintenant plus de deux ans.
Cette histoire va vous raconter comment ma vie a pu change...
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- Je t'aime, June, plus que tout.. me chuchote t-il en passant doucement ses mains dans mes cheveux.
- Je t'aime encore plus, mon Jad'.. chuchotais-je à mon tour, tandis que je le sentais m'embrasser le haut du crâne, et que je fermais doucement les yeux.
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June,19/03/21, 09:36am.
Ce matin, je me fais réveiller par les rayons du soleil qui ont transpercés les rideaux de la chambre, afin de se poser sur mon visage encore endormi.
Je souris en sentant le faux blond gesticuler à mes côtés, avant de ne le sentir se coller à moi, et de ne poser sa tête sur le haut de ma poitrine, qui était toujours nue, tandis qu'il resserrait son emprise sur mes hanches.
- Tu as bien dormi ? il me demande de sa voix rauque du matin.
- Très bien, et toi ? je lui demande en lui faisant des papouilles dans les cheveux.
- Mieux que jamais ! me répondit-il en m'embrassant doucement le cou.
Je ris légèrement face au ton enfantin qu'il a entreprit, avant qu'il ne relève la tête vers moi, affichant son habituel sourire qui le rend si sexy, avant de ne poser ses douces lèvres sur les miennes, me comblant littéralement de bonheur.
Quelques secondes plus tard, il se décale de moi, avant de ne sortir à contre coeur du lit, me laissant ainsi apercevoir son corps nu devant mes yeux, de si bon matin, tandis qu'il enfilait un caleçon et que mon regard ne pouvait plus le lâcher, tant il était beau ainsi.
- Qu'est-ce que tu fais ? je lui demande en riant doucement.
- Reste là, me répondît-il simplement en me déposant un brève baisé sur les lèvres, j'arrive !
Je le regarde s'éloigner vers la porte, avant qu'il ne la referme afin de descendre les escaliers, tandis que je grognais de mécontentement.
Je me lève à mon tour du lit, avant de n'enfiler une culotte, ainsi que son tee-shirt gris qui trainait encore sur le sol, avant de ne me rallonger dans ce dernier, et de positionner la couette sur ma tête, ne pouvant plus supporter le soleil qui me brûlait la rétine.
