Une nuit à jamais( Réécriture À Venir)

Chapitre 9: Etrange

Il passe ses mains sur mes jambes pour me porter. Il n'a aucune difficulté à me porter à ce que je vois. Il retire sa main de ma bouche.

- ne crie pas, voyons. Je te l'ai déjà dit, je ne te ferai rien.

Il me dépose sur un des fauteuils en face de son bureau et se met à genoux devant moi. Je le regarde bizarrement.

Il continue de m'observer.

- tu es encore plus belle qu'avant... Murmure-t-il.

Il a l'air soulager de me voir. Ce n'était pas une histoire d'une nuit, pour lui? Il essaye de toucher la joue qui me picote encore mais je recule ma tête.

- qu'est... Qu'est ce que vous me voulez ?

Il arque un sourcil.

- pas besoin de me vouvoyer. Et je te l'ai déjà dit. Tu es à moi.

Non, je ne suis pas... A lui. Enfin... Non. Il dit sa avec sincérité et c'est perturbant.

- non, je ne sais même pas comment vous vous appelez. Je ne suis pas à vous. Dis-je.

- je m'appelle Kline. Et tu es plus à moi que tu ne le penses. 

Il se redresse et son regard se fait plus profond. Son torse est contre mes genoux.

- tu sais, je n'ai pas apprécié le faite que tu me fuis juste après une nuit comme celle ci, chérie. Dit il.

Il reprend. Chérie ? Non mais et puis quoi d'autre !?

- je te veux auprès de moi. Que dirais tu de... 

Whoua! Qu'est ce qu'il me veux ? Qu'est ce qu'il raconte encore ? Je veux qu'il arrête tout de suite. Qu'est ce qu'il raconte? Je veux qu'il me lâche! Plusieurs oiseaux frappent contre la baie vitrée derrière lui et je sursaute. Il se retourne pour regarder derrière lui. Certains oiseaux se sont tué sur la vitre à une hauteur pareil.

Merde. C'est pas ce que je voulais faire. Je profite de son intention pour m'enfuir du bureau. Je passe par son assistante qui me regarde comme si j'étais folle. J'arrive rapidement à ma voiture et je ferme les portes à clés.

Je pose mon front sur le volant et reprend ma respiration. Mon cœur sort presque de ma poitrine. Qu'est ce qu'il vient de se passer. Je sais qu'il n'est pas humain mais il est quoi? Je sais que j'ai un rapport avec le surnaturel mais je ne me suis jamais intéressé au autre créatures. Je me suis toujours caché.

Je relève la tête pour voir  plusieurs personnes réunies en dehors du bâtiment. Il y a des oiseaux morts à terre. Je grimace. Je vais avoir des problèmes. Et qu'est-ce ce qu'il voulait me dire? Je ne sais pas quoi faire.

Je vais rentrer chez moi. Je dois rentrer chez moi. Je démarre pour sortir du domaines de l'entreprise. Au fur et à mesure que je m'éloigne de lui et l'entreprise, je me sens beaucoup mieux.

Kline Cares

Donc maintenant que j'ai retrouvé mon âme sœur, elle me fuit encore. Et qu'est ce qui viens de ce passer? Pourtant, elle a totalement l'odeur d'une simple humaine. Mais elle est vraiment trop craintive.

Je crois même qu'elle a peur de moi et sa m'énerve. En tout cas, elle a l'air d'aller beaucoup mieux que la dernière fois que je l'ai vue, il y a un an. Elle était plus mince et pâle que maintenant. Je crois même qu'elle avait des bleu. Je ne sais plus, j'étais trop hypnotisé par ses magnifiques yeux bleu.

Mais elle a l'air toujours aussi fragile. En y pensant, cette nuit là, je ne voulais pas la quitté des yeux. J'étais tellement en colère le matin en constatant qu'elle était partie.

Mais je dois faire attention de ne pas trop la bousculé. Je dois lui montrer qui je suis vraiment lentement. Les humains ne sont pas habitués à ce genre de chose, nous sommes juste des légendes pour eux. J'ai une horrible  envie d'aller la retrouver.

Mais j'aurais tout mon temps de le faire demain. Je vais renvoyez mon assistante ce soir. Je veux ma partenaire auprès de moi. Ylliëmée, quel magnifique prénom... Arrivé au terrain de ma meute, je descends de ma range rover. Il est 22h donc il n'y a pratiquement personne dehors. Je rentre dans la maison principale.

Il y a juste moi, mon bêta, mon gamma ainsi que les anciens qui commence sérieusement à me casser les pieds. Ma grand mère et ma mère vivent aussi ici. A peine ai-je franchis le seuil de la porte, ma mère y est déjà. Elle m'embrasse.

- bonjour mon fils. Nous avons à parler. Dit-elle.

Et voilà, nous y revoilà.