Une nuit à jamais( Réécriture À Venir)

Chapitre 61: Je t'aurai.

Bonsoir à tous, voici le nouveau chapitre. Bon, il est tard quand je publie ce chapitre mais je ne pouvais pas. Je viens de lire quelques choses qui me pousse à écrire là.

Bonne lecture, je ne vous en dit pas plus.
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Après le rituel, tout est devenu calme.

Comme si ces batailles à répétition n'avaient jamais eu lieu. Nous sommes comme revenu à la paix et tout ça semble bien trop étrange. Ils préparent quelques choses.

Mais quoi, ça, il faut le savoir.  Le rôle de Luna est encore une tâche auquel je dois pleinement m'habituer. Mais je fais de mon mieux. Un cahier en mains, je jette encore un rapide coup d'œil dessus.  Je viens de vérifier que tout est en ordre après avoir vérifié la gestion des quelque des provision pour le mois dans le bâtiment principal. Je regarde un moment la pièce avant de sortir.

En pleine fin de mars, le temps se réchauffe petit à petit, même s'il fait frais. Je respire à plein poumons l'air frais de cet endroit. Il m'est tellement familier, maintenant. C'est vraiment ce que je préfère depuis que je suis Luna. Et même avant. Regarder toutes les maisons de ma meute et me dire qu'ici, c'est chez moi.

C'est rafraichissant. Mon cœur bat doucement, je suis dans un bien être totale. Je me remets en marche, car rien n'est éternel. Comme le fait que ça fait deux semaines que nous n'avons pas été attaqués. Je suis contente.

Sauf que je sais aussi tellement bien que ce n'est jamais bon signe de la part de l'ennemi d'être autant silencieux. Je frisonne en sentant le vent frais caresser mes cheveux. Deux mains viennent s'imposer sur ma taille et je me colle instinctivement contre la personne. Klïne embrasse doucement mon cou, où il y a la morsure du vampire. Puis il embrasse doucement sa marque sur ma peau sensible.

Je frisonne et me tourne légèrement vers lui.

- Klïne.

- Chérie. Me dit-t-il. Tu as fini tout ce que tu avais prévue de faire aujourd'hui ?

- Oui.

- Bien, je vais enfin avoir toute l'attention de ma Luna.

Ma Luna. Je ne suis toujours pas habitué à ce mot dans sa bouche. Et pourtant, il m'en dit des choses...

- Tu devrais être content que je sois autant investie, non ?

- Je le suis. Mais ça fait trois semaines que tu as pris officiellement part à ton rôle. On verra ça bien plus tard.

- Tu essayes de me dégoûter, c'est ça ?

- Loin de là, chérie. Mais c'est le début. C'est l'euphorie du moment, mais après tu verras que tu n'as pas besoin de te presser sur certaines choses.

- Comme ?

- Comme expliqué aux enfants qui rentre dans des écoles humaines qu'ils doivent faire attention à eux. Nous ne sommes pas tous colérique. Pouffe-t-il.

- Je ne dis pas que vous êtes colérique, Klïne.

- Je sais. Ou encore le fait de t'acharner autant sur le travail à l'entreprise. Je sais que je t'ai dit que c'est la principale source de revenu pour ici mais ne t'inquiète pas, ce n'est pas l'argent qui manque pour ici.

Mes épaules s'affaissent légèrement et il ricane un peu. Je me retourne encore plus vers lui pour le dévisager.

- D'autres choses à dire, peut-être ? Je demande, vexée.