Chapitre 14: Réparer les pots cassés

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Ce matin, même si mon corps montre clairement ses envies de tomber dans les pommes, je me déshabille et me force à me regarder dans le miroir.

L'état de mon corps est pitoyable et lentement, je passe du coton et de l'alcool dans mes cheveux pour enlever le sang et désinfecté les plais. Combien de temps mon corps va supporter ce traitement? Est-ce que j'ai fait de grosses erreur dans le passé pour mériter ça? Non. Ou bien je dois payez de moi même pour quelqu'un

Pour qui était destiné ses mauvaises conséquences? Je ne vais sans doute jamais le savoir mais ce n'est pas à moi de payer ou réparer les pots cassés de qui conque. Je regarde mon ventre, mon dos, mes bras, la poitrines, mes cuisses, mes mollets et mes côtes. Remplis d'hématome et d'ecchymose. 

Je rentre dans la baignoire et les filets d'eau qui sortent du pommeau de douche m'incite à ne pas rester longtemps sous cette au tiède qui arrive quand même à me détendre.  J'enfile un long pull et une culotte et évite particulièrement le soutien pour aujourd'hui. Je fais une simple tresse de mes cheveux et marche avec nonchalance dans mon salon pour remplir mon estomac complètement chamboulé.

Je crois bien que je vais devoir nettoyé malgré les hurlements que mon cœur, mon corps et mon cerveau m'envoie. Et pourquoi je dois faire ça? Parce que je suis seule et que personne viendra m'aider. Voilà pourquoi. Et c'est comme ça depuis des années. Qui voudrai aider quelqu'un comme moi à sortir de ça? Je ris nerveusement en attrapant mon balaie.

- personne. Dis-je à moi même.

Logan Ebson

J'en veux. J'en veux plus, putain! J'ai besoin de plus d'argent pour acheter cette putain de bonne poudre blanche. J'en suis complètement devenue accro avec Zac. Cette petite pute ne m'a pas donné son salaire. Et dommage qu'elle se sois évanouie aussi vite.

Sans moi tout le temps avec elle et comme cette poufiasse m'a largué, elle semble redevenir comme je l'ai connue. Avec de putain de belle forme. Il faudrait que je me la fasse. La toucher et me branler devant elle m'excite encore plus.

Mais là, je n'ai pas besoin d'une bonne baise mais de ma poudre. Quand j'ai commencé ça, déjà? Après qu'elle est déménagé. Tout ça es de sa faute. Et c'est pourquoi je le lui fais payé. Moi, grand séducteur et coureur de jupon qui fait ce que je veux avec les femmes de mon choix, cette salope m'a largué.

Comment elle a osé faire ça? Cette pouffiasse n'était rien sans moi, abandonné de sa famille maintenant adulte et sa mère la pute morte pour la sortir de sa chatte.

Je ris et tire un bon coup sur ma troisième cigarette de la journée. Je tourne et regarde. J'ai besoin de trouvé de la coc. Le mec qui m'en fournissait s'est fait coffré. Je me gare près d'un club. Les putes semblent être partout de nos jours, comme sur ce trottoir.  Les dealeurs traînent souvent ici. Sois pour leur business sois pour s'envoyez en l'air.

Je rentre sans problème et la chaleur est étouffante. La musique est bonne. Je regarde les strip-tisseuse bouger leur cul et on met des billet dans certains soutiens. Après quelque recherche, je finis par trouver et mon petit sachet à peine acquis, j'en met un peu sur une table et enroule un vieux ticket de caisse pour le prendre. 

Maintenant dans mon organisme, je me sens détendues. J'entends des rires et c'est une femme qui viens se coller à moi. Maintenant qu'elle passe sa main sur mon pantalon, drogue et sex doivent bien aller ensemble.

- hum... Nous avons un adepte. Dit un homme devant moi.

Je regarde un peu et il est grand. Yeux vert perçant et cheveux blond platine. Il es accompagné d'une femme bien roulé. Elle regarde parterre et tremble à ses côtés. Oh, une soumise. C'est bien.

- vous êtes?

Il s'assoie sans mon invitation et encre ses yeux dans les miens. Il y a quelque chose de bizarre chez cet homme et sa ne me donne pas envie de le provoquer.

- oh, je m'appelle Charles. Je vois que vous êtes devenue accro à cette drogue. J'en vends si vous voulez.

Je me redresse, intéressé.

- vous vendez vos paquets combien? Demandais-je.

- oui, bonne question mais contre quoi. Moi, je préfère assouvir mes désirs sexuels.

Je fronces des sourcils et il me montre la belle femme au cheveux brun et yeux noisettes à cotés de lui.

- elle est ma pute personnel et j'en ai plein des comme ça. Je vous propose quelque chose. Je m'ennuie, ces derniers temps. Alors ramené moi une belle femme et je vous donne votre drogue.

Il reprends.

- drogue et sex, vous l'aurez, je me fais de l'argent en vendant et en achetant des femmes. Sa vous va?

- oui. Je vais aller vous chercher ça.

Ah, qu'est ce que je ne ferai pas contre de la bonne poudre.

Une nuit à jamais( Réécriture À Venir)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant