Chapitre 64: Au revoir et à jamais.

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Bonjour à tous! 

Vous pouvez pas savoir à quel point je suis contente de mettre fin à cette histoire. 

Elle m'a donné du files à retordre mais j'en arrive à bout. C'était plutôt long, près d'un an pour la finir depuis que j'ai créé le brouillon avant de vous publié le premier chapitre! 

J'ai hâte de commencer avec vous d'autres histoires et de lire vos commentaire sous ce chapitre et les autres! C'était vraiment un très bon moment de partage avec vous. Bref, trève de blabla, je vous laisse avec le chapitre .

⚠ Ce chapitre contient des scènes violentes et gores qui pourrait choquer la sensibilité de certains. ⚠

Bonne lecture

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Toujours dans le PDV d'Ylliëmée.

Je n'aurais jamais imaginé ça. 

C'est hors magie, hors sorcellerie. 

Hors de tout, complètement.

Ce que Antonio à crée dépasse l'entendement. L'offensive commence et pourtant, je suis là à regarder cette créature balayé d'un coup de griffe la première ligne de la meute de la forêt noir. Les loup garou touché son pour la plus part éventré. La vue des boyaux qui sortent presque me donne immédiatement envie de vomir.

Quelque chose ne va pas.

Tout cloche. Les yeux de la créature croisent les miens. Ils sont rouges sang. Et face à la taille qu'il a pris en quelque temps, il pleure du sang. Il me fixe et je recule instinctivement, mortifié. Vine passe doucement sa main dans mon dos pour me rassurer et se rapproche.

J'ai un très mauvais présentiment.

Je ne peux pas me permettre de faire tombé la foudre sur lui à nouveau alors que beaucoup des nôtre lui saute dessus. Je reprends mon souffle lentement et doucement. J'ai dit à Klïne que j'aiderais de loin et c'est ce que je vais faire. Après les loups garou et vampire ennemi, une faible poigné de sorcières apparait.

Les sorts lancés sont dévastateur. Je me met à genoux sur le sol le plus lentement possible avant d'encrée mes doigts dans la terre fraîche. Plus loin, des plantes saisissent des loups et les maintient en hauteur un moment avant que d'autre viennent facilement les achevés. Les corps mort sont relâchés vainement sur le sol qui se nourrit désormais du sang.

C'est un vrai carnage tout autour de nous. Surtout Charles. Qui avance. Il a saisit un loup garou dans ses mains qu'il sépare brusquement en deux. Les organes se rependent sur ceux en dessous et sur le sol. Et le corps. Un morceau du corps, il l'envoie vers moi. La vitesse de l'envoie est telle que j'ai juste le temps de faire un arbre se déplacé pour l'intercepté.

Le sang se répand  tout autour de nous. Vine grogne à mes côtés.

- C'est quoi ce putain de bordel, à la fin!

Une nuit à jamais( Réécriture À Venir)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant