Chapitre 52: Corps mort.

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Bonjour à tous.

⚠️ Ce chapitre contient des descriptions qui peuvent choquer les plus sensibles.

Désolée pour tout ceux qui ont reçu une première fois la publication du chapitre. Je l'ai publié sans faire exprès,  je n'avais pas finis de l'écrire.😅😭

Bonne vacances à tous! 

Bonne lecture.

🎨

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*

J'ouvre la porte de la chambre et Klïne me pousse presque dedans pour fermer la porte dans notre dos. En me tournant vers lui, je pourrais presque croire qu'il me regarde avec méfiance.

Pourtant non, il essaye d'avoir une réponse sur mon visage. J'ai utilisé mes dons dans la salle à manger et je ne contrôlait rien pendant que j'étais dans cette sorte de trans. Sa aurait pu être dangereux.

Il me fixe en puissant des yeux et sa bouche se retrousse. Il aime bien faire ça quand il veut me pousser à parler.

- Je n'ai rien à dire, Klïne.
- Ah bon? Tu es sur de ça? C'était quoi ça, Ylliëmée?

Il s'appuie contre la porte, les bras croisé, faisant ressortir les muscles de ces bras.

- Je ne sais pas.

Il me fixe encore et je ne vois plus su'un fin trait de la couleur de ses yeux tant il plissé des yeux. Pourtant, il ne me semble pas qu'il est des origines asiatique,  comme ça, il a presque les yeux bridés.

- Explique -moi ce qui s'est passé.

Je soupire et part m'assois sur le lit. Je suis vraiment trop tourmenté. Je me sens ailleurs et en ce moment, mon visage doit être marqué par l'exaspération.  Il se rapproche et traîne sur le sol un fauteuil non loin du lit pour s'asseoir en face de moi. On dirait presque un interrogatoire.

Ses mains se pose délicatement sur mes cuisses qui caresses un moment avant de toucher mes mains du bout des doigts.

- Ce n'est pas normal, tout ça. Je dis.
-De quoi?
- C'est trop calme. Trois semaines et rien du tout. Je sens que... Quelques choses de grave s'est passé et est arrivé.
- C'est à dire?
- Je crois que j'ai des hallucinations. Enfin,  je ne sais pas. Je vois des choses, ça à un rapport avec l'approche de mes 25 ans mais...

Il continue de frôler la peau de mes mains dans un mouvement doux, il ne me brusque pas pour parler. Il attend.  Il ne m'a jamais trop brusquer pour parler appart quand ça devenait trop important.

- Dans la forêt,  j'ai senti une douleur à mon cou et j'ai cru sentir une blessure à se niveau. Pourtant je n'ai rien. Et puis dans la salle à manger... J'ai vu quelqu'un et Vallérina. Morte.

Ses doigts stop net leur danse sur mes mains et je le sens bouger un peu. Malgré tout,  il ne dit rien.

- Elle avait un trou au milieu de la gorge et puis cet homme qui était dans la pièce semblait... bleu. Comme un cadavre. Après,  je me suis retrouvé dans un des jardins et puis tu m'as appelé.

Je l'entends souffler profondément et il se recule un peu de moi. Il doit sûrement me prendre pour une folle maintenant.  Je relève les yeux vers lui, ses iris grises affiche une neutralité impressionnante que lui seul à le secret.

Une nuit à jamais( Réécriture À Venir)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant