Une nuit à jamais( Réécriture À Venir)

Chapitre 50: Proches et éloignées.

Enfin! Le 50ème chapitre! J'ai crue que ce jour n'arriverais jamais!

Vous même, vous avez pu voir que dans certains de mes petits messages du début, je perdais espoir sur l'avancé de l'histoire. Mais avec vous, j'avance un peu mieux, j'ai plus d'idées d'actions en tête, bien qu'il faut que je les rédige. 

Mais OUI! On approche tout doucement de la fin de cette histoire. Nous en sommes à peut prêt à la moitié ou un peu plus de la moitié du déroulement de l'histoire que j'ai en tête, alors merci, chers lecteurs.

Bon, c'était juste un message à titre informatif, je vous laisse avec le chapitre.

Bonne lecture.

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Ylliëmée West.

Je mange mais c'est comme si la nourriture n'avait pas de goût. 

Mes sens sont maintenant réduit à deux.

L'ouïe et la vue.

Je ne cesse d'écouter les bruit alentour dans cette infirmerie et en regardant partout autour de moi. Je suis complètement déconnecté du monde extérieur. Je n'arrive plus à penser à quoi que ce soit d'autre que ce que je vois et ce que j'entends. Plus rien. Je suis sortie de cet enfer, en effet, mais j'ai encore du mal à le croire.

Pour moi, Charles pourrait surgir de nul part, vouloir me faire du mal moralement ou physiquement. Il pourrait encore m'humilié ou m'insulter comme il aimait bien le voir. Je suis resté cinq jour là bas. C'est ce que je croyais. Mais non, je suis resté une semaine entière. Quand je me suis réveillée là bas, cela faisait déjà deux jours que je dormais à cause de ma chute. Une nausée me viens et ma fourchette de riz reste en suspend.

Klïne me l'a dit à l'instant. Et depuis tout à l'heure, je suis entrain de penser à plusieurs choses. Et si il avait profiter pour me toucher pendant que je dormais? N'a-t-il pas fait quelque chose d'étrange avec mon corps inconscient? Puis je me dis que quand je me suis réveillé, seul mon bras et ma tête me faisait mal. Nul part ailleurs. Il voulait vraiment que je sois réveillé pour me faire du mal.

Ce mec est un vrai psychopathe. 

Rien de moins mais peut être bien plus. Je n'ai vrai aucune envie de le savoir.

- Chérie.

Je reprends une profonde inspiration et pose mes yeux sur lui. Il y a toujours cette inquiétude qui reste intact dans ses yeux.

- Finis de manger.

- Je n'ai plus faim. Je dis.

- Tu sais que j'entends ton ventre gargouillé, non? Tu dois aller prendre l'air, alors finit de manger ou c'est moi qui le fait pour toi.

Je hausse légèrement un sourcils. C'est vraiment très intéressant ce qu'il me dit là. Et puis, tout en le fixant, mon esprit divague un peu. Maintenant, je me remercie de n'avoir fait que la petite commission quand il était avec moi. Mais il entends à travers les mur, non? Bref.